Spectacle
•
Amphithéâtre - Cité de la musique
•
Durée : environ
1h00
Programme
Distribution
Georges Aperghis
Récitation 9 Désir, pour voix de femme
Brigitta Muntendorf
Public Privacy #Aria, pour sampler et vidéo
Erwin Schulhoff
Sonata Erotica, pour voix de femme
François Sarhan
Finger and mouth, pour clavier et vidéo
Laurie Anderson
Langue d'amour, pour voix et sampler
Pierre Jodlowski
Série rose, pour piano et électronique
Juliana Hodkinson, Niels Rønsholdt
X&X, pour voix et piano
Frauke Aulbert
, voix, performance
Małgorzata Walentynowicz
, piano, sampler, performance
Dominik Kleinknecht
, mise en scène sonore
Monika Pasiecznik
, Concept et programme
INFORMATIONS COVID-19 : ANNULATIONS, MODIFICATIONS, REPORTS
En 1919, le dadaïste Erwin Schulhoff construisait toute une sonate sur le geste érotique. D’autres lui emboîtent le pas aujourd’hui, explorant les liens intimes entre musique et sonorités du désir.
Dans Sonata Erotica (1919), Erwin Schulhoff fait passer la fameuse performance de Meg Ryan dans Quand Harry rencontre Sally pour une pâle imitation. Cette célébration de l’orgasme féminin donne le ton de ce concert qui fait la part belle aux interjections coïtales. Dans sa Récitation n° 9, Georges Aperghis dresse le portrait d’une femme emplie de désir. Pour Public Privacy #ARIA, Brigitta Muntendorf gèle dans le temps des bribes vocales tour à tour soupirantes, gémissantes ou chantantes pour reconstituer de toute pièce un chant d’amour ambigu. De leurs côtés, François Sarhan joue avec une bouche vidéo et Laurie Anderson interroge la Langue d’amour. À l’autre bout du spectre, Pierre Jodlowski se joue des orgasmes hyperboliques du porno…
En 1919, le dadaïste Erwin Schulhoff construisait toute une sonate sur le geste érotique. D’autres lui emboîtent le pas aujourd’hui, explorant les liens intimes entre musique et sonorités du désir.
Dans Sonata Erotica (1919), Erwin Schulhoff fait passer la fameuse performance de Meg Ryan dans Quand Harry rencontre Sally pour une pâle imitation. Cette célébration de l’orgasme féminin donne le ton de ce concert qui fait la part belle aux interjections coïtales. Dans sa Récitation n° 9, Georges Aperghis dresse le portrait d’une femme emplie de désir. Pour Public Privacy #ARIA, Brigitta Muntendorf gèle dans le temps des bribes vocales tour à tour soupirantes, gémissantes ou chantantes pour reconstituer de toute pièce un chant d’amour ambigu. De leurs côtés, François Sarhan joue avec une bouche vidéo et Laurie Anderson interroge la Langue d’amour. À l’autre bout du spectre, Pierre Jodlowski se joue des orgasmes hyperboliques du porno…
Avec le soutien de l'Institut Polonais de Paris et de l'Institut d'Adam Mickiewicz
Comment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris