Clé d'écoute
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Salle de conférence - Philharmonie
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Durée : environ
30 minutes
Avec 
Christian Merlin
, conférencier
Animées par des personnalités du monde musical, spécialistes du sujet, les clés d'écoute sont de courtes conférences qui préparent l'esprit et l'oreille à l'écoute d'une oeuvre du concert qui suit. "Sur les pas de..." évoque la vie d'un grand artiste ou d'un orchestre invité.
Le plus français des orchestres américains. L’Orchestre Symphonique de Boston a été durablement marqué par la culture française. D’abord parce que deux de ses plus grands directeurs musicaux, Pierre Monteux et Charles Munch, étaient Français. Sans parler de Seiji Ozawa, disciple de Munch et lauréat du Concours de Besançon. Mais aussi parce que sa sonorité a été forgée par de nombreux instrumentistes français, en particulier dans les vents (le flûtiste Georges Laurent, le hautboïste Fernand Gillet, le légendaire trompettiste Roger Voisin). Au point que, à l’écoute aveugle, il n’est pas rare qu’il soit pris pour un orchestre français, remarqué pour l’élégance et la clarté de sa sonorité. Reste-t-il encore quelque chose de cette identité malgré les inévitables évolutions dues à la succession des chefs et des musiciens ?
Christian MERLIN est le critique musical du Figaro depuis l’été 2000. Agrégé d’allemand, titulaire du doctorat en études germaniques et de l’HDR en musicologie, longtemps maître de conférences à l’Université de Lille, il est également chroniqueur sur France Musique et collaborateur à L’Avant-Scène Opéra et Diapason. Il est également l’auteur de plusieurs ouvrages, notamment sur l’orchestre : Au Cœur de l’orchestre (Fayard), Le Philharmonique de Vienne, biographie d’un orchestre (Buchet-Chastel), Les Grands chefs d’orchestre du XXe siècle (Buchet-Chastel), mais aussi Wagner mode d’emploi et Strauss mode d’emploi (Editions Premières Loges).
Le plus français des orchestres américains. L’Orchestre Symphonique de Boston a été durablement marqué par la culture française. D’abord parce que deux de ses plus grands directeurs musicaux, Pierre Monteux et Charles Munch, étaient Français. Sans parler de Seiji Ozawa, disciple de Munch et lauréat du Concours de Besançon. Mais aussi parce que sa sonorité a été forgée par de nombreux instrumentistes français, en particulier dans les vents (le flûtiste Georges Laurent, le hautboïste Fernand Gillet, le légendaire trompettiste Roger Voisin). Au point que, à l’écoute aveugle, il n’est pas rare qu’il soit pris pour un orchestre français, remarqué pour l’élégance et la clarté de sa sonorité. Reste-t-il encore quelque chose de cette identité malgré les inévitables évolutions dues à la succession des chefs et des musiciens ?
Christian MERLIN est le critique musical du Figaro depuis l’été 2000. Agrégé d’allemand, titulaire du doctorat en études germaniques et de l’HDR en musicologie, longtemps maître de conférences à l’Université de Lille, il est également chroniqueur sur France Musique et collaborateur à L’Avant-Scène Opéra et Diapason. Il est également l’auteur de plusieurs ouvrages, notamment sur l’orchestre : Au Cœur de l’orchestre (Fayard), Le Philharmonique de Vienne, biographie d’un orchestre (Buchet-Chastel), Les Grands chefs d’orchestre du XXe siècle (Buchet-Chastel), mais aussi Wagner mode d’emploi et Strauss mode d’emploi (Editions Premières Loges).
Salle de conférence - Philharmonie
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