Concert symphonique
•
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
2h00
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Dai Fujikura
Uto
John Adams
Doctor Atomic Symphony
Entracte
Antonín Dvořák
Symphonie n° 9 "Du Nouveau Monde"
Orchestre National d'Île-de-France
Enrique Mazzola
, direction
Enrique Mazzola nous propose une évocation sonore du Nouveau Monde, écrite successivement par le Japonais Dai Fujikura, l’Américain John Adams et le Tchèque Anton Dvorák dont la dernière symphonie est un hymne vibrant à l’Amérique plurielle.
Rien ne prédestinait le compositeur tchèque Anton Dvorák à faire le grand voyage depuis Prague jusqu’à New York en 1892. Pourtant, il eut un réel coup de cœur pour l’Amérique et occupa pendant quatre ans le poste de directeur du Conservatoire de cette ville si cosmopolite. Dvorák dédia sa dernière symphonie à ce pays adoré. Sous-titrée « Nouveau Monde », elle rend un hommage vibrant aux Indiens d’Amérique à travers ses mélodies dansantes et enivrantes. Le succès de l’œuvre fut tel que l’astronaute Neil Armstrong, en allant sur la Lune en 1969, emporta dans ses bagages un enregistrement de cette symphonie censée représenter l’Amérique.
La Symphony de John Adams a une histoire tout aussi incroyable : extraite de son opéra Dr Atomic (2005), elle évoque le personnage de Robert Oppenheimer, le physicien américain qui mit au point la bombe larguée sur le Japon en 1945. Répétitive et lyrique, cette œuvre en un mouvement reflète l’esprit tourmenté du scientifique, partagé entre le désir de découvrir cette nouvelle technologie et l’incertitude de son usage futur.
Rien ne prédestinait le compositeur tchèque Anton Dvorák à faire le grand voyage depuis Prague jusqu’à New York en 1892. Pourtant, il eut un réel coup de cœur pour l’Amérique et occupa pendant quatre ans le poste de directeur du Conservatoire de cette ville si cosmopolite. Dvorák dédia sa dernière symphonie à ce pays adoré. Sous-titrée « Nouveau Monde », elle rend un hommage vibrant aux Indiens d’Amérique à travers ses mélodies dansantes et enivrantes. Le succès de l’œuvre fut tel que l’astronaute Neil Armstrong, en allant sur la Lune en 1969, emporta dans ses bagages un enregistrement de cette symphonie censée représenter l’Amérique.
La Symphony de John Adams a une histoire tout aussi incroyable : extraite de son opéra Dr Atomic (2005), elle évoque le personnage de Robert Oppenheimer, le physicien américain qui mit au point la bombe larguée sur le Japon en 1945. Répétitive et lyrique, cette œuvre en un mouvement reflète l’esprit tourmenté du scientifique, partagé entre le désir de découvrir cette nouvelle technologie et l’incertitude de son usage futur.
Production Orchestre national d'Île-de-France

Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
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3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris