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Le programme de ce spectacle a été modifié.

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Voyage dans l’univers du cor avec l’Orchestre National d’Île-de-France : une partition soliste consacrée à l’instrument par Mozart précède une symphonie d’un compositeur qui en appréciait la sonorité : Brahms.

Comme les autres symphonies de Brahms, dont le père jouait de cet instrument, la Deuxième Symphonie présente plusieurs passages qui mettent le son du cor soliste en valeur, notamment la coda du premier mouvement. Il semble que Brahms pensait aux sonorités du cor naturel lorsqu’il composait – alors qu’à l’époque, les cors à piston commençaient de devenir la norme. Le Troisième Concerto de Mozart, lui, est (fort logiquement) destiné au cor naturel.