Concert symphonique
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Salle des concerts - Cité de la musique
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Durée : environ
1h50
Programme
Distribution
Wolfgang Amadeus Mozart
Symphonie n° 39
Symphonie n° 40
Symphonie n°41 "Jupiter"
Pygmalion
Raphaël Pichon
, direction
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Composées en moins de deux mois à l’été 1788, les trois dernières symphonies de Mozart naissent au cours d’une des périodes les plus noires de la vie du compositeur. Raphaël Pichon et l'Ensemble Pygmalion en proposent une interprétation épurée et saisissante.
Cela explique certainement le ton solennel, voire la gravité qui domine les trois partitions, même si l’esprit varie sensiblement de l’une à l’autre : la première semble un brin plus optimiste, la seconde, mélancolique voire dépressive (peut-être en raison du décès de sa fille Theresia, six mois, le 29 juin) et la troisième, olympienne (d’où son surnom de « Jupiter »). En dépit de ces circonstances, ces trois symphonies atteignent à un équilibre quasi idéal, figurant comme l’apogée classique du genre. Et il y a fort à parier que si Mozart ne les avait pas composées, tout particulièrement le dernier mouvement de la Jupiter avec ses magnifiques passages fugués, l’histoire de la musique en aurait été changée, à commencer par les symphonies de Beethoven.
Composées en moins de deux mois à l’été 1788, les trois dernières symphonies de Mozart naissent au cours d’une des périodes les plus noires de la vie du compositeur. Raphaël Pichon et l'Ensemble Pygmalion en proposent une interprétation épurée et saisissante.
Cela explique certainement le ton solennel, voire la gravité qui domine les trois partitions, même si l’esprit varie sensiblement de l’une à l’autre : la première semble un brin plus optimiste, la seconde, mélancolique voire dépressive (peut-être en raison du décès de sa fille Theresia, six mois, le 29 juin) et la troisième, olympienne (d’où son surnom de « Jupiter »). En dépit de ces circonstances, ces trois symphonies atteignent à un équilibre quasi idéal, figurant comme l’apogée classique du genre. Et il y a fort à parier que si Mozart ne les avait pas composées, tout particulièrement le dernier mouvement de la Jupiter avec ses magnifiques passages fugués, l’histoire de la musique en aurait été changée, à commencer par les symphonies de Beethoven.

Salle des concerts - Cité de la musique
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3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris