Concert
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adulte
•
Cité de la musique - Salle des concerts
•
Durée : environ
1h40
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Wolfgang Amadeus Mozart
Les Noces de Figaro / Ouverture
Les Noces de Figaro / Acte I, "Cinque... dieci..."
Les Noces de Figaro / Acte I, "Se a caso..."
Les Noces de Figaro / Acte III, "Signor..."
Les Noces de Figaro / Acte III, "Crudel, perché finora..."
Don Giovanni / Ouverture
Don Giovanni / Acte I, "Là ci darem la mano"
Don Giovanni / Acte I, "Alfin siam liberati"
Don Giovanni / Acte II, "Non mi dir"
Entracte
La clémence de Titus / Ouverture
Mitridate / Acte II, "Nel grave tormento"
Air de concert : "Mentre ti lascio o figlia"
La Flûte enchantée / Ouverture
La Flûte enchantée / Acte I, "Bei Männern, welche Liebe Fühlen..."
La Flûte enchantée / Acte II, "Ach, ich fühl's"
La Flûte Enchantée / Acte II, "Ein Mädchen oder Weibchen"
La Flûte enchantée / Acte II, Duo Papageno/Papagena
Orchestre Philharmonique de Radio France
Bernard Labadie
, direction
Sandrine Piau
, soprano
Detlef Roth
, baryton
C’est une sorte de promenade à travers les grands airs amoureux mozartiens que proposent la soprano Sandrine Piau et le baryton Detlef Roth. L’occasion de voir défiler, en un kaléidoscope de situations, les amants des Noces de Figaro, de La Flûte enchantée et de Don Giovanni notamment.
Car l’amour, selon Mozart, donne lieu au déploiement d’un éventail d’émotions fortement contrastées. Pamina est bouleversante de chagrin quand, lors de son air déchirant, Ach ich fühl’s, elle pleure l’amour de Tamino qu’elle croit avoir perdu. Tandis que Papageno et Papagena sont délicieux de naïveté dans la mécanique rythmique qui fait se répondre les premières syllabes de leurs noms (pa, pa, pa…) lorsqu’ils s’avancent l’un vers l’autre, pas à pas.
Les mêmes contrastes traversent les Noces, entre l’humour domestique – Figaro est inoubliable en arpenteur de sa chambre nuptiale – et les intrigues du comte qui menacent son bonheur…
Car l’amour, selon Mozart, donne lieu au déploiement d’un éventail d’émotions fortement contrastées. Pamina est bouleversante de chagrin quand, lors de son air déchirant, Ach ich fühl’s, elle pleure l’amour de Tamino qu’elle croit avoir perdu. Tandis que Papageno et Papagena sont délicieux de naïveté dans la mécanique rythmique qui fait se répondre les premières syllabes de leurs noms (pa, pa, pa…) lorsqu’ils s’avancent l’un vers l’autre, pas à pas.
Les mêmes contrastes traversent les Noces, entre l’humour domestique – Figaro est inoubliable en arpenteur de sa chambre nuptiale – et les intrigues du comte qui menacent son bonheur…
Coproduction Cité de la musique, Radio France.
Philharmonie Live
Concert diffusé en direct et disponible en intégralité jusqu’au 17 mars 2012 sur Philharmonie Live.
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