Concert
•
adulte
•
Cité de la musique - Amphithéâtre
•
Durée : environ
1h05
Programme
Distribution
Erik Satie
La Belle Excentrique
Piano quatre mains
Francis Poulenc
Sonate
Piano quatre mains
George Gershwin
Trois Préludes
Transcription pour deux pianos de Gregory Stone
Darius Milhaud
Le Boeuf sur le toit
Piano quatre mains
Alfred Bryan
Blue River
Arrangement pour deux pianos de Jean Wiener et Clément Doucet
Giuseppe Milano
Covanquihno
Arrangement pour deux pianos de Jean Wiener et Clément Doucet
Emmerich Kálmán
A Little Slow Fox With Mary
Arrangement pour deux pianos de Jean Wiener et Clément Doucet
George Gershwin
Why Do I Love You
Arrangement pour deux pianos de Jean Wiener et Clément Doucet
Alexandre Tharaud
, piano
Frank Braley
, piano
Lorsque le cabaret Le Gaya déménagea en 1922 de la rue Duphot à la rue Boissy d’Anglas, dans le huitième arrondissement de Paris, il fut renommé par son propriétaire, Louis Moysès, d’après le ballet de Darius Milhaud qui avait été créé deux ans plus tôt au Théâtre des Champs-Élysées : Le Boeuf sur le toit.
Dans ce lieu devenu mythique, on croisait notamment Jean Cocteau, Erik Satie, René Clair, Maurice Ravel… Jean Wiener et Clément Doucet y proposaient chaque soir leur célèbre duo de pianos et c’est là que les plus grands compositeurs français du début du XXe siècle ont prêté l’oreille au jazz fraîchement débarqué (l’expression « faire le boeuf » est née ainsi...).
En somme, comme le montre cette série de concerts et de rencontres orchestrés par Alexandre Tharaud, sans Le Boeuf sur le toit, l’histoire de la musique n’aurait pas été la même.
Dans ce lieu devenu mythique, on croisait notamment Jean Cocteau, Erik Satie, René Clair, Maurice Ravel… Jean Wiener et Clément Doucet y proposaient chaque soir leur célèbre duo de pianos et c’est là que les plus grands compositeurs français du début du XXe siècle ont prêté l’oreille au jazz fraîchement débarqué (l’expression « faire le boeuf » est née ainsi...).
En somme, comme le montre cette série de concerts et de rencontres orchestrés par Alexandre Tharaud, sans Le Boeuf sur le toit, l’histoire de la musique n’aurait pas été la même.
