Concert
•
adulte
•
Salle Pleyel
•
Durée : environ
1h35
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Wolfgang Amadeus Mozart
Don Giovanni / Ouverture
Matteo Franceschini
Voce - Concerto pour violoncelle et orchestre
création
Piotr Ilitch Tchaïkovski
Variations sur un thème rococo
pour violoncelle et orchestre
Entracte
Capriccio italien
Richard Strauss
Don Juan
Orchestre National d'Île-de-France
Fabien Gabel
, direction
Xavier Phillips
, violoncelle
Charme, amour et passion
Le personnage légendaire de Don Juan n’en finit pas de fasciner les artistes. En lui se trouvent portées à l’extrême les pulsions de vie et de mort. Ses conquêtes féminines forment une liste interminable jusqu’à ce que son insatiable appétit le mène à sa perte. Deux chefs-d’œuvre illustrent ici l’ardeur et l’impénitence du mythique séducteur : dans l’ouverture de l’opéra Don Giovanni , Mozart annonce le châtiment final par des couleurs venues de l’enfer.
Tandis que Strauss emploie toute la fougue de l’orchestre pour incarner le désir passionnel du héros dans son magnifique poème symphonique Don Juan.
Les autres oeuvres du programme jouent aussi avec la séduction : à travers les Variations rococo de Tchaïkovski, le grand violoncelliste Xavier Phillips révèlera une virtuosité pleine de charme.
Dans Voce, le court concerto que l’Orchestre a commandé au jeune compositeur italien Matteo Franceschini, le violoncelle envoûtera le public comme une diva sur une scène d’opéra.
Et dans son Capriccio italien, c’est en amoureux de l’Italie que Tchaïkovski confie à l’orchestre ses souvenirs de la ville aux sept collines.
Le personnage légendaire de Don Juan n’en finit pas de fasciner les artistes. En lui se trouvent portées à l’extrême les pulsions de vie et de mort. Ses conquêtes féminines forment une liste interminable jusqu’à ce que son insatiable appétit le mène à sa perte. Deux chefs-d’œuvre illustrent ici l’ardeur et l’impénitence du mythique séducteur : dans l’ouverture de l’opéra Don Giovanni , Mozart annonce le châtiment final par des couleurs venues de l’enfer.
Tandis que Strauss emploie toute la fougue de l’orchestre pour incarner le désir passionnel du héros dans son magnifique poème symphonique Don Juan.
Les autres oeuvres du programme jouent aussi avec la séduction : à travers les Variations rococo de Tchaïkovski, le grand violoncelliste Xavier Phillips révèlera une virtuosité pleine de charme.
Dans Voce, le court concerto que l’Orchestre a commandé au jeune compositeur italien Matteo Franceschini, le violoncelle envoûtera le public comme une diva sur une scène d’opéra.
Et dans son Capriccio italien, c’est en amoureux de l’Italie que Tchaïkovski confie à l’orchestre ses souvenirs de la ville aux sept collines.
Production Orchestre National d'Île-de-France.