Concert
•
Salle Pleyel
•
Durée : environ
1h50
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Camille Saint-Saëns
Symphonie en la majeur
Entracte
Franz Schubert
Messe en mi bémol majeur
Orchestre de Paris
Chœur de l'Orchestre de Paris
Bertrand de Billy
, direction
Malin Byström
, soprano
Renata Pokupic
, mezzo-soprano
Werner Güra
, ténor
Maximilian Schmitt
, ténor
Hanno Müller-Brachmann
, baryton-basse
Lionel Sow
, chef de chœur
Une surprise au programme : la toute première symphonie de Saint-Saëns, écrite à quinze ans !
Don d’un enfant précoce, comme en laissèrent Mozart ou Mendelssohn, cette première partition orchestrale soucieuse de perfection formelle annonce le renouveau de la symphonie française auquel Saint-Saëns contribua considérablement.
Ce n’est pas ironie qu’associer la première œuvre d’un compositeur qui enjamba les époques et les mutations et mourut à 86 ans, avec l‘une des dernières d’un musicien disparu à seulement 31 ans. Saint-Saëns et Schubert dialoguent avec beaucoup de délicatesse, dans un esprit partagé de Romantisme naissant.
Donnée une première fois à l‘Orchestre de Paris par Carlo-Maria Giulini, la dernière des six messes de Schubert est ample, intense et très chorale, audacieuse d’harmonie. Grand chef lyrique, le plus viennois des chefs français, Bertrand de Billy revient à l’Orchestre de Paris diriger ce chef-d’œuvre.
Don d’un enfant précoce, comme en laissèrent Mozart ou Mendelssohn, cette première partition orchestrale soucieuse de perfection formelle annonce le renouveau de la symphonie française auquel Saint-Saëns contribua considérablement.
Ce n’est pas ironie qu’associer la première œuvre d’un compositeur qui enjamba les époques et les mutations et mourut à 86 ans, avec l‘une des dernières d’un musicien disparu à seulement 31 ans. Saint-Saëns et Schubert dialoguent avec beaucoup de délicatesse, dans un esprit partagé de Romantisme naissant.
Donnée une première fois à l‘Orchestre de Paris par Carlo-Maria Giulini, la dernière des six messes de Schubert est ample, intense et très chorale, audacieuse d’harmonie. Grand chef lyrique, le plus viennois des chefs français, Bertrand de Billy revient à l’Orchestre de Paris diriger ce chef-d’œuvre.