Concert
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Cité de la musique - Salle des concerts
TWO DOOR CINEMA CLUB
Une infernale machine que Two Door Cinema Club. Difficile de ne pas craquer pour l’hédonisme fou de cet electro-rock appelant au lâcher prise. Cinq secondes, montre en main, l’euphorie monte, et la scène comme le dancefloor peuvent prendre feu. Hystérie collective avez-vous dit ? Dès leur formation en 2007, ces Irlandais, chouchous du label Kitsuné, ont su trouver le parfait dosage entre guitares stridentes, beats épileptiques, textures électroniques et mélodies implacables. Bien plus agité que Friendly Fires ou Foals, TDCC fascine surtout pour le côté pop de sa musique. Une pop bardée d’électricité et d’électronique pour mieux titiller son potentiel festif. Les marqueurs forts d’une musique devenue un véritable phénomène international.
Première partie : GAZ COOMBES
Il y a donc bien une vie après Supergrass… Depuis la fin, en 2010, de l’un des groupes britanniques les plus excitants des années 1990/2000, son leader s’est lancé dans une embardée solo de power pop kaléidoscopique toute aussi percutante et gorgée d’idées. Sans ses anciens comparses, le chanteur n’offre pas un ADN totalement modifié et l’on retrouve toujours cette démentielle énergie puisée dans de multiples influences allant des Buzzcocks à Madness, des Small Faces aux Beatles, de Bowie aux Kinks. Désormais, Gaz Coombes ose parfois certains dérapages psychédéliques voire quelques bifurcations expérimentales. Mais c’est surtout son don pour les mélodies qui durent et pour les trouvailles instrumentales qui les habillent qui impressionnent. Sans oublier cette facette insaisissable du bonhomme, capable de passer du punk au funk, du glam à la pop, en quelques riffs de guitare.
Une infernale machine que Two Door Cinema Club. Difficile de ne pas craquer pour l’hédonisme fou de cet electro-rock appelant au lâcher prise. Cinq secondes, montre en main, l’euphorie monte, et la scène comme le dancefloor peuvent prendre feu. Hystérie collective avez-vous dit ? Dès leur formation en 2007, ces Irlandais, chouchous du label Kitsuné, ont su trouver le parfait dosage entre guitares stridentes, beats épileptiques, textures électroniques et mélodies implacables. Bien plus agité que Friendly Fires ou Foals, TDCC fascine surtout pour le côté pop de sa musique. Une pop bardée d’électricité et d’électronique pour mieux titiller son potentiel festif. Les marqueurs forts d’une musique devenue un véritable phénomène international.
Première partie : GAZ COOMBES
Il y a donc bien une vie après Supergrass… Depuis la fin, en 2010, de l’un des groupes britanniques les plus excitants des années 1990/2000, son leader s’est lancé dans une embardée solo de power pop kaléidoscopique toute aussi percutante et gorgée d’idées. Sans ses anciens comparses, le chanteur n’offre pas un ADN totalement modifié et l’on retrouve toujours cette démentielle énergie puisée dans de multiples influences allant des Buzzcocks à Madness, des Small Faces aux Beatles, de Bowie aux Kinks. Désormais, Gaz Coombes ose parfois certains dérapages psychédéliques voire quelques bifurcations expérimentales. Mais c’est surtout son don pour les mélodies qui durent et pour les trouvailles instrumentales qui les habillent qui impressionnent. Sans oublier cette facette insaisissable du bonhomme, capable de passer du punk au funk, du glam à la pop, en quelques riffs de guitare.
