Concert
Franck Tortiller & Elias Sanbar
Et la terre se transmet comme la langue
Vendredi 28 février 2020 — 20h30
Programme
Franck Tortiller
Advienne un jour sans mort
Emmène-moi
Et la terre se transmet comme la langue
Et rêvaient qu'ils étaient arrivés
Et savaient
Ils sont rentrés page 7
Ils sont rentrés
Interlude page 18
Interlude page 22
Le même
Notre pays
Ô chant
Distribution
- Dominique Devals, soprano
- Elias Sanbar, récitant
- Franck Tortiller, composition, vibraphone
- Yves Torchinsky, contrebasse
- Misja Fitzgerald Michel, guitare
- Patrice Héral, percussions
- Joël Chausse, trompette, bugle
- Maxime Berton, saxophone, flûte
En collaboration avec Elias Sanbar, qui tient le rôle du récitant, le compositeur Franck Tortiller adapte à la scène Et la terre se transmet comme la langue, long poème épique de Mahmoud Darwich d’une extraordinaire musicalité.
Inclus dans le recueil Au dernier soir sur cette terre (Actes Sud), Et la terre se transmet comme la langue a été écrit par Mahmoud Darwich à Paris en 1989, durant la première Intifada. Traduit en français par Elias Sanbar, il prend la forme d’un long poème épique en prose chantant le destin d’un peuple voué à l’exil et à la guerre. À présent, le compositeur Franck Tortiller fait jaillir sur scène ce texte majeur de l’écrivain palestinien, en collaboration avec Elias Sanbar, sous forme d’une création musicale à l’instrumentation étoffée dans laquelle la voix, parlée ou chantée, tient une place essentielle. De Mahmoud Darwich, Franck Tortiller dit : « Sa parole résonne, chante, danse, vit. C’est une musique, les mots sont des mélodies, les phrases des harmonies. »
Inclus dans le recueil Au dernier soir sur cette terre (Actes Sud), Et la terre se transmet comme la langue a été écrit par Mahmoud Darwich à Paris en 1989, durant la première Intifada. Traduit en français par Elias Sanbar, il prend la forme d’un long poème épique en prose chantant le destin d’un peuple voué à l’exil et à la guerre. À présent, le compositeur Franck Tortiller fait jaillir sur scène ce texte majeur de l’écrivain palestinien, en collaboration avec Elias Sanbar, sous forme d’une création musicale à l’instrumentation étoffée dans laquelle la voix, parlée ou chantée, tient une place essentielle. De Mahmoud Darwich, Franck Tortiller dit : « Sa parole résonne, chante, danse, vit. C’est une musique, les mots sont des mélodies, les phrases des harmonies. »