Deux jeunes musiciens se réapproprient, chacun(e) à sa façon, l’œuvre inépuisable de Johann Sebastian Bach : en première partie, la pianiste israélo-belge Edna Stern, et, en seconde partie, le producteur électronique anglais Clark.

Ayant commencé son apprentissage musical dès l’âge de 6 ans et fait ses gammes auprès de mentors tels que Martha Argerich et Krystian Zimerman, Edna Stern joue avec autant d’éclat du piano et du pianoforte. Elle est régulièrement invitée à se produire partout dans le monde, en solo, en formation de chambre ou avec orchestre. Grande admiratrice de Bach, elle traverse ici son répertoire avec une libre vivacité. Le Cantor de Leipzig fait l’objet d’une approche encore plus décalée de la part de Clark, producteur électronique qui occupe une place de choix dans la scène musicale britannique. Auteur d’une petite dizaine d’albums (dont deux sous le nom de Chris Clark), il développe un univers impressionniste oscillant entre ambient, IDM et électronica.