Pour ce concert exceptionnel, la réservation d’une place est conditionnée à un don de 25 euros en faveur du développement de Démos.

Musique, jeunesse et prestige sont réunis pour ce concert unique programmé en soutien aux orchestres Démos (Dispositif d’éducation musicale et orchestrale à vocation sociale). 

Initié en 2010, Démos (Dispositif d’éducation musicale et orchestrale à vocation sociale) œuvre en faveur de la démocratisation culturelle par la pratique musicale en orchestre. Il forme les futurs citoyens du XXIe siècle en plaçant la musique au cœur de leur développement, et en donnant une place centrale au travail social.

Évolution de la relation aux apprentissages, confiance en soi, concentration et écoute, respect de l'autre, créativité... Les bienfaits de Démos sont nombreux et plus de 12 000 enfants en ont déjà bénéficié. D’abord centré sur la région Île-de France, le dispositif s’est développé à l'échelle nationale à partir de 2015 et compte désormais près d'une cinquantaine d'orchestres répartis sur l’ensemble du territoire français.

Chaque année, des concerts sont l’occasion de présenter au grand public et aux familles le travail accompli. Cette soirée de Gala occupe une place unique dans le dispositif : aux côtés des orchestres Démos Paris et Démos Philharmonie de Paris, rejoints par le Chœur d’enfants de l’Orchestre de Paris, la pianiste Khatia Buniatishvili, marraine du projet, s’entoure d’artistes prestigieux pour une soirée exceptionnelle, à la croisée des genres et des disciplines.

Le plateau réunira la jeune prodige de l’orgue Alma Bettencourt, l’atypique François Chat, poétique pionnier de la danse jonglage, ainsi que la chanteuse et multi-instrumentiste Yael Naim, dont l’univers entre pop, jazz et folk fait la part belle aux affinités classiques. En première partie de concert, spectres, sorciers et trolls seront au cœur d’un voyage endiablé avec la Danse macabre, L’Apprenti sorcier et Peer Gynt, sans oublier le décapant et féerique Voyage dans la Lune. Les notes de Philip Glass laissent ensuite place au printemps avec, entre deux courses folles menées par Saint-Saëns et Offenbach, les sonorités chaudes du gospel Let My People Go, la mélancolie douce du chant russe Les Chrysanthèmes, la danse pleine d’insouciance de la compositrice Charlotte Sohy et le célèbre Allegretto de la Septième de Beethoven… Un programme en forme d’hymne à la jeunesse, à la vie et à la fête.