Opéra
Vivaldi / Teuzzone
Le Concert des nations - Jordi Savall - Chen Shi-Zheng
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Mardi 16 février 2021 — 19h30
Programme
Antonio Vivaldi
Teuzzone
Livret d’Apostolo Zeno
Distribution
- Le Concert des Nations
- Jordi Savall, direction
- Andy Liu, Teuzzone
- Giuseppina Bridelli, Zidiana
- Francesca Biliotti, Zelinda
- Theodora Raftis, Cino
- Mauro Borgione, Sivenio
- Gabriel Diaz, Egaro
- Victor Sordo, Troncone et Argonte
- Lingling Yu, Pipa
- Minh Trang Nguyen, Zheng
- Chen Shi-Zheng , mise en espace
L’opéra Teuzzone de Vivaldi dirigé par Jordi Savall, celui-là même qui l’avait vraiment sorti de l’oubli en 2011, à l’occasion d’une version de concert donnée à Versailles et parue ensuite au disque.
Parmi les premières œuvres composées pour l’opéra par Vivaldi, qui attendit jusqu’à ses trente-cinq ans pour se pencher sur la question, Teuzzone transpose en Chine les histoires de rivalités pour le pouvoir et d’amours trahies dont est friand le théâtre de l’époque. Créé en 1718 à Mantoue, il témoigne de la liberté artistique dont jouissait alors Vivaldi, qui était maestro di cappella da camera du landgrave Philippe de Hesse-Darmstadt, chargé de composer de la musique profane et des cantates. Teuzzone accumule les péripéties sur un rythme enlevé jusqu’à la fin heureuse de rigueur, qui voit le triomphe des bons sur les méchants. Musicalement, l’ensemble est riche et varié, Vivaldi y manifestant son goût de la liberté et sa sûreté d’écriture aussi bien vocale qu’orchestrale.
Parmi les premières œuvres composées pour l’opéra par Vivaldi, qui attendit jusqu’à ses trente-cinq ans pour se pencher sur la question, Teuzzone transpose en Chine les histoires de rivalités pour le pouvoir et d’amours trahies dont est friand le théâtre de l’époque. Créé en 1718 à Mantoue, il témoigne de la liberté artistique dont jouissait alors Vivaldi, qui était maestro di cappella da camera du landgrave Philippe de Hesse-Darmstadt, chargé de composer de la musique profane et des cantates. Teuzzone accumule les péripéties sur un rythme enlevé jusqu’à la fin heureuse de rigueur, qui voit le triomphe des bons sur les méchants. Musicalement, l’ensemble est riche et varié, Vivaldi y manifestant son goût de la liberté et sa sûreté d’écriture aussi bien vocale qu’orchestrale.
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