La Musikfest / Time Capsule

Alexandre Kantorow - Liya Petrova - Koechlin, Poulenc, Beethoven, Bach/Brahms, Schnittke, Fauré

Accueil / Agenda / La Musikfest / Time Capsule

Musique de chambre

•

Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie

•

Durée : environ 3h15 dont 2 entractes

Programme

Distribution

Charles Koechlin

Les Heures Persanes (extraits)

Francis Poulenc

Sonate pour clarinette et piano

Entracte

Ludwig van Beethoven

Septuor pour cordes et vents

Entracte

Johann Sebastian Bach

Chaconne (transcription de Johannes Brahms)

Alfred Schnittke

Quintette pour piano et cordes

Gabriel Fauré

In Paradisium (extrait du Requiem, transcription de Slavy Dimov)

Alexandre Kantorow , piano

Liya Petrova , violon

Adam Laloum , piano

Daniel Hope , violon

Simos Papanas , violon

Lawrence Power , alto

Lise Berthaud , alto

Aurélien Pascal , violoncelle

Edgar Moreau , violoncelle

Victor Julien-Lafferière , violoncelle

Lorraine Campet , contrebasse

Martin Fröst , clarinette

Julien Hardy , basson

Benoît de Barsony , cor

Ensemble vocal du COGE (chœurs et orchestres des grandes écoles)

Antoine Bretonnière , chef de chœur

Pour cet ultime rendez-vous de la Musikfest, de remarquables chambristes convient les sentiments les plus variés. Le pianiste Alexandre Kantorow et le clarinettiste Martin Fröst sont quelques-uns des hérauts de ce feu d’artifice final.

Avec Les Heures persanes, Charles Koechlin a composé une de ses partitions les plus sensuelles et envoûtantes. Elles offrent un contraste saisissant avec la Sonate pour clarinette et piano de Poulenc – créée par Benny Goodman et Leonard Bernstein –, dont l’expansivité joyeuse se teinte ici de douce mélancolie. Retour vers le passé avec le Septuor pour cordes et vents de Beethoven, œuvre savoureuse que son auteur jugeait pourtant sévèrement, et la transcription de Brahms, tour de force dédié à la seule main gauche, d’un monument du violon. Enfin, après le Quintette pour piano et cordes de Schnittke, manière de « requiem instrumental » dédié à sa mère disparue, s’élève l’élégiaque et diaphane In paradisum de Fauré.

Coréalisation La Musikfest, Philharmonie de Paris