Concert
•
adulte
•
Cité de la musique - Amphithéâtre
•
Durée : environ
1h35
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Antonio Vivaldi
Concerto pour deux violons et violoncelle en sol mineur RV 578a
Concerto pour flûte en fa majeur "La Tempesta di Mare" RV 433
Concerto a quattro en re mineur RV 128
Concerto pour violon en sib majeur RV 372
Entracte
Concerto pour flûte en sol mineur "La Notte" RV 439
Concerto a quattro en ut majeur RV 114
Concerto pour violon en fa mineur "L'Inverno" RV 297
Manuel Granatiero
Chaconne sur une basse de Vivaldi
Bis
Antonio Vivaldi
Concerto pour violon en fa mineur "L'Inverno" RV 297
extrait, bis
Gli Incogniti
Alba Roca
, violon
Flavio Losco
, violon
Ottavia Rausa
, alto
Marco Ceccato
, violoncelle
Roberto Bevilacqua
, violone
Francesco Romano
, théorbe
Anna Fontana
, clavecin, orgue
Manuel Granatiero
, traverso
Amandine Beyer
, direction musicale, violon
L’ensemble Gli Incogniti, fondé en 2006, emprunte son nom à celui d’une célèbre académie de lettrés libertins qui influèrent sur l’esthétique de l’opéra à Venise, dans la première moitié du XVIIe siècle. C’est avec cette liberté que ses musiciens interprètent les concertos de Vivaldi et leurs évocations de la nuit, de la tempête en mer ou de l’hiver.
La fondatrice de l’ensemble, la violoniste Amandine Beyer, se demande :
« Comment faire pour qu’un alto se métamorphose en chien ou pour que
deux violons deviennent un duo de mouches agaçantes ? » Sa réponse réside dans la recherche musicologique la plus rigoureuse alliée à l’invention musicale la plus fertile, pour restituer sans clichés les puissantes images vivaldiennes qui demandaient à être décapées : le déferlement des vagues, les sifflements du vent ou la plainte des naufragés dans La Tempesta di Mare, ainsi que les tourbillons nocturnes ou le largo ensommeillé de la flûte et des cordes avec sourdines dans La Notte.
La fondatrice de l’ensemble, la violoniste Amandine Beyer, se demande :
« Comment faire pour qu’un alto se métamorphose en chien ou pour que
deux violons deviennent un duo de mouches agaçantes ? » Sa réponse réside dans la recherche musicologique la plus rigoureuse alliée à l’invention musicale la plus fertile, pour restituer sans clichés les puissantes images vivaldiennes qui demandaient à être décapées : le déferlement des vagues, les sifflements du vent ou la plainte des naufragés dans La Tempesta di Mare, ainsi que les tourbillons nocturnes ou le largo ensommeillé de la flûte et des cordes avec sourdines dans La Notte.
Concert en tournée, organisée par la Cité de la musique :
Jeudi 20 mai 2010 (20h30) à Châlons-en-Champagne, La Comète
