Dans le premier volet de concert chorégraphié, c’est le danseur basque Juan Kruz Diaz de Garaio Esnaola qui incarne magistralement le devenir et la disparition, jouant sur scène avec la terre, l’air, le feu et l’eau.
Le second volet (dont le concept général a été initié par Sasha Waltz et Clemens- Maria Nuszbaumer) fait entrer dans la danse les musiciens de l’Akademie für Alte Musik : les cordes se disposent, pour le Printemps, de manière à former des arbres sonores fl orissants, les instruments se couvrent de feuilles ou de neige, tandis que le violon solo est entraîné dans d’inoubliables pas de deux musicaux et gestuels.