Spectacle
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
2h15
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Sukeyasu Shiba
Rodai Ranbu
Entracte
Atsuhiko Gondai
Higan no Jikan
Toshiro Saruya
Rinju
Ensemble Reigakusha
Kaiji Moriyama
, danse solo
Kei Asanuma
, danse
Nao Usui
, danse
Rui Kajita
, danse
Ayaka Hikima
, danse
Makoto Ofune
, réalisation de l'installation "VOID"
Jun Matsumoto
, coiffure et maquillage (tsujimanagement)
Mikihiro Owaki
, costumes, (Unitévision)
Le gagaku impérial, art musical japonais importé de Chine et de Corée, se transmet de générations en générations depuis le Ve siècle. Les musiciens de l’ensemble Reigakusha perpétuent cette tradition en dialoguant avec le flamboyant danseur Kaiji Moriyama.
Les mouvements de Kaiji Moriyama, l’un des meilleurs danseurs contemporains japonais, sont comparés à ceux d’un sabre, découpant l’espace avec précision et fluidité. Parmi ses nombreux projets, il s’est produit dans Cha no Aji (« le goût du thé »), premier film japonais ayant ouvert la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, en 2004. Le 13 octobre, sur la scène de la Grande salle Pierre Boulez, il dansera sur la musique du gagaku, l’une des plus anciennes traditions musicales japonaises, restituées par l’ensemble Reigakusha. La pratique du gagaku se rapproche d’un véritable rite, qui repose sur une alternance complexe des rythmes et des sons, sur de subtiles variations et sur le timbre si particulier des instruments japonais. L’ensemble jouera également les œuvres de trois compositeurs contemporains : Sukeyasu Shiba, Atsuhiko Gondai et Toshiro Saruya.
La 2ème partie du spectacle sera illustrée par « VOID », une œuvre de l'artiste japonais Makoto Ofune, fabriquée à partir de matériaux traditionnels japonais: Iwa Enogu (pigments minéraux) et Washi (papier japonais).
Les mouvements de Kaiji Moriyama, l’un des meilleurs danseurs contemporains japonais, sont comparés à ceux d’un sabre, découpant l’espace avec précision et fluidité. Parmi ses nombreux projets, il s’est produit dans Cha no Aji (« le goût du thé »), premier film japonais ayant ouvert la Quinzaine des réalisateurs à Cannes, en 2004. Le 13 octobre, sur la scène de la Grande salle Pierre Boulez, il dansera sur la musique du gagaku, l’une des plus anciennes traditions musicales japonaises, restituées par l’ensemble Reigakusha. La pratique du gagaku se rapproche d’un véritable rite, qui repose sur une alternance complexe des rythmes et des sons, sur de subtiles variations et sur le timbre si particulier des instruments japonais. L’ensemble jouera également les œuvres de trois compositeurs contemporains : Sukeyasu Shiba, Atsuhiko Gondai et Toshiro Saruya.
La 2ème partie du spectacle sera illustrée par « VOID », une œuvre de l'artiste japonais Makoto Ofune, fabriquée à partir de matériaux traditionnels japonais: Iwa Enogu (pigments minéraux) et Washi (papier japonais).
Coproduction Fondation du Japon, Philharmonie de Paris
En partenariat avec la Maison de la culture du Japon à Paris
Dans le cadre de Japonismes 2018
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris
Pour repartir après ce concert
navette bus