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Lauréat 2024 du prix Liliane Bettencourt pour le chant choral, l’Ensemble Correspondances place la jeunesse au cœur de grands projets artistiques. Témoin ce programme partagé avec les adolescents de la Maîtrise de Caen et du Chœur EVE de la Philharmonie.

En trio acoustique, la flamboyante Sandra Nkaké cisèle un concert en forme d’hommage aux compositrices et artistes femmes qui l’ont inspirée.

L’intensité des symphonies de chambre, la vivacité éclatante du Concerto pour piano n° 1, le dépouillement des Six Mélodies, la comédie satirique Moscou, Tcheriomouchki : tous les visages du grand compositeur russe.

Mêlant récits, chants et danses, l’artiste franco-iranienne Fiona Sanjabi transporte Les Mille et Une Nuits dans un univers musical contemporain – entre électro et pop psyché – pour donner forme à un concert-spectacle aussi chatoyant qu’envoûtant.

Nombreuses sont les musiques composées spécialement pour un film muet – Chostakovitch lui-même s’est prêté à l’exercice. William Kentridge inverse le paradigme et imagine un film d’après la Symphonie n° 10 du compositeur, victime du régime soviétique.

Le Duo Játékok embrasse de vastes horizons musicaux. Les deux pianistes réunissent autour des Mille et Une Nuits d’Armande de Polignac quatre autres compositrices françaises faisant irruption dans le XXe siècle, pareillement inspirées par l’Orient.

Mêlant instruments traditionnels orientaux et électronique pour accompagner deux courts métrages d’animation iraniens, ce ciné-concert transculturel déploie un envoûtant univers poétique apte à émerveiller les petits comme les grands.

Jordi Savall dirige un programme consacré au plus doué des grands musiciens romantiques : après la Symphonie n°3, imprégnée de l’atmosphère des paysages sauvages d’Écosse, résonne La Première Nuit de Walpurgis, cantate aux accents fantastiques.

Mêlant instruments traditionnels orientaux et électronique pour accompagner deux courts métrages d’animation iraniens, ce ciné-concert transculturel déploie un envoûtant univers poétique apte à émerveiller les petits comme les grands.

Après Le dernier amour de Fauré, donné en janvier 2024, le duo formé par Aline Piboule et Pascal Quignard dans une nouvelle exploration, consacrée à Frederic Mompou.

Shara Nova dans The Blue Hour, une œuvre collaborative écrite avec quatre autres compositrices autour d’un texte de la poétesse Carolyn Forché, qui mêle intime et politique.


Tour à tour mystérieuse, terrifiante, apaisante et chaleureuse, la partition de Dracula est l’une des plus belles réussites de Wojcieck Kilar. Voilà les spectateurs prévenus : c’est la musique, plus encore que le vampire, qui va s’emparer de leur âme !

En cette nuit d’Halloween, jouons à avoir peur avec Satan et son armée de morts-vivants qui s’apprêtent à conquérir le monde des vivants.

Dès sa création en 2011, le Paris Mozart Orchestra de Claire Gibault s’intéresse au mélologue, genre musical assez rare qui combine musique et texte parlé. Il donne Orfeo de la compositrice Silvia Colasanti.

Trois stars conjuguent leur talent : le piano virtuose de Jean-Yves Thibaudet, le violon éclatant de Lisa Batiashvili et le violoncelle expressif de Gautier Capuçon rivalisent de brio et de sensibilité dans des pages de Chostakovitch, Debussy et Dvořák.

Puisant notamment dans son récent album Mélusine, qui traverse avec éclat plusieurs époques et styles, la très créative chanteuse franco-américaine Cécile Mc Lorin Salvant déploie son chatoyant monde musical teinté de féerie.

Aventurier éminent de la scène musicale contemporaine, le chanteur et mandoliniste Chris Thile explore un large spectre de styles – de la country au baroque en passant par le jazz – avec une maestria dont ce concert permet de prendre toute la mesure.

Expert dans l’art du « cinémix », l’inclassable Prieur de la Marne orchestre une performance hybride sulfureuse qui accouple savamment musiques bien moites, photos érotiques, extraits de films amateurs en super 8 et textes lus par plusieurs invités.

Renaud Capuçon est le soliste du Concerto pour violon de Mendelssohn, dont la virtuosité fine et délicate a fait le succès, avant que ne résonne La Légende de Joseph, partition emplie de passion signée du grand maître allemand de l’orchestre.

Pygmalion poursuit sa traversée de l’Allemagne romantique en compagnie de Stéphane Degout, déjà complice d’un rêve schubertien et d’un Requiem allemand. Par-delà le chef-d’œuvre de Brahms, ils se partagent ici des œuvres hantées par l’ombre de la mort.

Les musiciens de l'Orchestre de Paris mettent leur talent au service d’un quatuor ad hoc, qui s’empare des « miniatures » les plus séduisantes de Bartók et Prokofiev.

Déployée ici sur scène, avec entre autres l’orchestre du CRR de Paris et de jeunes élèves de la Prépa’ Théâtre 93, une foisonnante fiction radiophonique retrace la mythique ultime expédition en Antarctique de l’officier anglais Robert Falcon Scott.

Philippe Herreweghe démontre une nouvelle fois la pertinence de ses propositions musicales dans le registre romantique, en particulier beethovénien.

Brahms fait l’unanimité dans ce programme symphonique et concertant : Veronika Eberle et Jean-Guihen Queyras, comme le Chamber Orchestra of Europe et Yannick Nézet-Séguin sont de fervents passionnés de l’œuvre du compositeur allemand.

De très courts films d'animation dévoilent un univers marin doux et mystérieux que le duoScience fiction enveloppe de rythmes et sonorités électro.

Élément clef du système de formation des musiciens français à l’orchestre, l’Orchestre Français des Jeunes les confronte cette année à deux sommets de la musique russe et une page contemporaine – trois visions hautes en couleur de l’orchestration.

De l’événement que constitue la création française de Body Cosmic au classicisme décanté de César Franck, ce concert ouvre la palette des styles, avec, en pièce de résistance, le diabolique Concerto de Brahms, magnifié par Janine Jansen.

Tour à tour limpide et claire, tempétueuse et plate comme un miroir, l’eau irrigue l’imaginaire musical, et sert ici de fil rouge à la pianiste Célia Oneto Bensaid dans un programme entièrement féminin couvrant plus d’un siècle et demi de piano français.

Vingt-quatre œuvres, vingt-quatre compositrices, une trentaine d'interprètes d'exception... Un concert où trésors oubliés et chefs-d'œuvre inédits reprennent vie sur scène.

Il n’est qu’à fermer les yeux pour écouter des chants de Noël pour retrouver, intact, son esprit d’enfance. Un envol délicat et magique, avec pour guide acariâtre, mais au bout du compte généreux, le Scrooge de Dickens !


Ce programme français, incluant le chaleureux Concerto n° 1 de Saint-Saëns sous l’archet de Sheku Kanneth-Mason, offre aux auditeurs français l’occasion d’une vie : entendre pour la première fois une œuvre inédite de Ravel !

Chanteur du groupe Dionysos, écrivain et réalisateur, Mathias Malzieu livre une adaptation scénique joliment ludique de son nouveau roman, L’homme qui écoutait battre le cœur des chats, conte de deuil empreint de poésie autant que de fantaisie.

Plonger dans les musiques de Michel Legrand fait toujours l’effet enchanteur d’un bain de jouvence, plus encore lorsqu’elles jaillissent d’un orchestre comme le Yellow Socks Orchestra, dévoué à l’interprétation des partitions du septième art.