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Avec « KaiserRequiem », Omer Meir Wellber défie les conventions en entrelaçant l'opéra de chambre d'Ullmann, arraché à la terreur nazie, avec le chef-d’œuvre intemporel de Mozart, le Requiem composé lui-même dans un face à face avec la mort en 1791.

Soirées exceptionnelles, puisque Thierry Escaich, compositeur à l’honneur, fait en personne sonner les jeux de l’orgue. Hommage au « Bon Dieu de la musique », Bach, ce programme nous entraîne aussi du côté de Shakespeare et de la Ville éternelle.

Anthony Joseph imagine avec Roger Raspail et Dave Okumu une soirée où le spoken word et l’expérimentation sonore se rencontrent.

Sous la houlette du Quatuor Hermès, l’un des plus éminents de sa génération, rejoint par Mathilde Caldérini à la flûte et Constance Luzzati à la harpe, un hommage à trois compositrices nées au XIXe siècle, trop longtemps négligées.

Après Sol Gabetta dans Chostakovitch, promesse d’un moment captivant, Tugan Sokhiev fait résonner l’envoûtante Septième Symphonie de Bruckner. Qui mieux que la Staatskapelle de Dresde pour en magnifier le lyrisme ?

À l’occasion du cent-cinquantenaire de sa mort, deuxième soirée Bizet. Après Adèle Charvet et Florian Caroubi en mars, c’est au tour de Reinoud Van Mechelen et d’Anthony Romaniuk d’interpréter un choix de mélodies du compositeur.

Au fil de ce concert de l’Ensemble intercontemporain donné dans le cadre du Festival ManiFeste de l’Ircam, c’est toute une série de figures de plasticiens qui surgit : de Vassili Kandinski à Derek Jarman, en passant par Willem de Kooning et Joan Miró.