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Entre délices paradisiaques et visions infernales, ce programme nous emmène des mélopées orientalistes de Schéhérazade à la jubilation buffa d’Offenbach, en passant, avec Daníel Bjarnason et Martin Grubinger, par une démoniaque expérience rythmique !

La Légende de Joseph confie à la danse le soin de traduire les tortures de la foi et du désir, quand le Concerto pour violon impose sa juvénile vitalité. Deux œuvres de jeunesse de Strauss en miroir du chef-d’œuvre testamentaire de César Franck.

Une longue soirée dédiée au râga en reflète les formes actuelles les plus créatives à travers plusieurs figures majeures de générations différentes.

Salué notamment pour ses étincelantes (ré)interprétations de pièces de Philip Glass, l’aventureux pianiste américain Bruce Brubaker propose un concert intégralement consacré à la musique d’un autre compositeur fondamental de notre temps : Brian Eno.

Avec sa savante hybridation de chanson, de pop orchestrale et d’écriture classique, William Sheller est une référence pour plusieurs générations. La scène française lui rend hommage et célèbre son oeuvre singulière.

Oscillant entre jazz contemporain, metal et noise, la seconde soirée organisée pour les 70 ans de John Zorn réunit trois formations emblématiques de son univers : deux quartettes – New Masada Quartet et Heaven and Earth Magick – et un trio – Simulacrum.

Le ténor Rolando Villazón et le harpiste Xavier de Maistre ont concocté un assortiment de chansons d’une Amérique latine pleine de mystère, de joie et de mélancolie. Des couleurs inédites se révèlent dans l’intimité de cette sérénade nocturne.

Olivier Latry, Thomas Ospital et leurs élèves du Conservatoire de Paris relèvent le défi d’embrasser en l'espace de 14 heures les quelque deux cent cinquante pièces composées pour l’orgue par Bach. Un corpus généreux débordant d’inventivité.

En ascension continue depuis quelques années, le très talentueux chorégraphe grec Christos Papadopoulos présente Opus, une pièce pour quatre interprètes qui donne forme à une magistrale traduction scénique de L’Art de la fugue de Bach.

Couronné en 2021 du premier prix du Concours Chopin de Varsovie qui le propulse à vingt-quatre ans sur la scène internationale, Bruce Liu embrasse un répertoire sans exclusive, de Bach à Prokofiev et Kapoustine, sans oublier bien entendu Chopin.

Pleins feux sur l’orchestre : les deux joyaux, bien qu’incomplets, de Schubert et Bruckner montrent combien la symphonie romantique est redevable de la tradition germanique.

Quarante-et-un ans, et pas une ride. C’est que l’Orchestre Français des Jeunes est toujours composé de sang neuf. Michael Schønwandt, qui le dirige depuis 2021, invite ce soir Alexandre Tharaud à le rejoindre dans un programme entre tubes et rareté.

Alchimie subtile des styles et des époques à l’affiche, avec deux grands maîtres de la tradition germanique, Bach et Brahms, dialoguant avec les textures moirées de Ligeti et une pièce contemporaine d’Unsuk Chin dédiée à un autre géant : Beethoven.

Entouré de ses compositeurs de prédilection, le pianiste Bertrand Chamayou s’offre le luxe d’aborder dans un même récital les deux œuvres longtemps tenues pour les plus difficiles du répertoire pianistique – Scarbo et Islamey.

Sept ans après leur triomphale interprétation de l’œuvre à la Philharmonie, Raphaël Pichon et son ensemble Pygmalion reprennent l’oratorio Elias de Mendelssohn, l’un des sommets romantiques du genre.

Inventeur fantasque à l’oreille musicale et à l’esprit joueur, le collectif Spat’Sonore a imaginé une structure acoustique où gravitent sons étranges, bruits et chansons, pour vivre en totale immersion une expérience sonore inédite et réjouissante.

Un héros doté d’un sabre magique, aux prises avec une araignée géante que suivent à la trace de valeureux guerriers : tels sont les personnages de ce « nô de démon », l’un des plus spectaculaires du répertoire, inspiré d’une légende du VIIIe siècle.

Projet né de l’imagination fertile du dessinateur et illustrateur Jacques Azam, pour lequel des musiciens sont invités à improviser, ce virevoltant concert illustré fait l’éloge du rugby via un conte à la poésie fantasque teintée d’absurde.

Partant du dernier des sept opéras du cycle composé entre 1978 et 2003, les solistes du Balcon de Maxime Pascal invitent à pénétrer, dans un format intimiste sollicitant l’ouïe, la vue et l’odorat, l’univers sensible de Licht de Karlheinz Stockhausen.

Waré Mono est un éloge à la fragilité de l’enfance. Pour la sublimer, la chorégraphe Kaori Ito a associé à l’écriture de son spectacle un comité d’enfants dont elle fait danser les corps et s’épancher les voix.


Tierkreis est l’une des oeuvres majeures du compositeur Karlheinz Stockhausen. Douze mélodies, pour autant de signes du zodiaque, portées sur scène par de bienveillantes musiciennes qui dialoguent avec marionnette et ombres.

Conjuguant pièces de musique minimaliste (Glass, Cage, Riley...), jouées par la pianiste Shani Diluka, et dessins, réalisés par l’illustrateur Matthias Lehmann, une création inédite traduit sur scène La Métamorphose de Kafka avec une vive originalité.

Auteur de l’étincelante saga Kirikou, Michel Ocelot compte d’autres joyaux à son actif, dont Azur et Asmar. Inspiré des Contes des mille et une nuits, ce réjouissant film d’animation est présenté pour la première fois sous la forme d’un ciné-concert.