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Le flamboyant Cameron Carpenter s’empare de deux sommets de la musique, audacieusement arrangés par ses soins : les fantasmagories de Moussorgski répondent aux Variations Goldberg, alpha et oméga de la musique de Bach.
L’Orchestre de Paris a noué depuis plusieurs années un lien artistique fort avec la cheffe américaine Karina Canellakis. Le violoncelliste français Jean-Guihen Queyras est l’un de ses solistes de prédilection pour les pages concertantes du répertoire.
Plenum / Anima : un spectacle sous le signe de la rencontre. Benjamin Millepied chorégraphie Bach, Jobel Medina Borodine et Idio Chichava Stravinski. Olivier Latry et Shin-Young Lee se succèdent ou se réunissent à la console de l’orgue de la Philharmonie.
Marina Chiche et Sodi Braide font assaut de curiosité en convoquant autour de la figure tutélaire de Beethoven quatre noms de la musique américaine et anglaise, parmi lesquelles trois compositrices dont le renom s’amplifie au fil des ans.
Tchaïkovski en mode immersif : l’Orchestre Consuelo et son chef Victor Julien-Laferrière s’abandonnent dans des pages symphoniques et des variations concertantes qui semblent écrites pour eux. Et offrent un autre regard sur le compositeur russe.
Un récital vocal donné le soir de la Saint-Valentin par une chanteuse prénommée Aphrodite : on pourrait s’attendre à un hymne à l’amour très premier degré, mais Aphrodite Patoulidou fait le choix du pas de côté.
Voici un concert placé sous le signe de la jeunesse, interprètes et compositeurs. Le chef finlandais Tarmo Peltokoski n’a pas 25 ans mais fait le bonheur de l’orchestre toulousain, qui s’est placé sous sa direction musicale depuis septembre dernier.
William Christie dirige deux sommets de la musique sacrée : aux Litaniae Lauretanae de Mozart, « merveille d’art et de jeunesse » selon Alfred Einstein, répond la radieuse Harmoniemesse, une des plus imposantes compositions de Haydn.
La musique de Ravel ne compte que quelques pièces écrites pour chœur, mais elle semble appeler la voix, et de nombreux compositeurs se sont frottés à l’art de la transcription vocale de ses œuvres. L’occasion de les redécouvrir sous un jour nouveau.
Sheku Kanneh-Mason, la nouvelle star du violoncelle britannique, se confronte au redoutable Concerto n°1 de Chostakovitch, avant que Semyon Bychkov, à la tête du vénérable Czech Philharmonic, ne s’empare de sa plus célèbre symphonie.
L’Orchestre national de Lille nous offre un vibrant plaidoyer contre l’antisémitisme. Évoquant les victimes d’hier, ce programme nous rappelle, comme l’écrivait Bertolt Brecht, que « le ventre est encore fécond, d’où a surgi la bête immonde ».
Avec l’Orchestre de la Tonhalle de Zurich, son directeur musical le chef estonien Paavo Järvi et la musique de John Adams, qu’il défend à l’occasion aux côtés du compositeur en concert, le pianiste islandais Víkingur Ólafsson est en terres amicales.
Après la poésie et l’intelligence d’Emanuel Ax dans l’admirable Concerto n° 4 de Beethoven, Nathalie Stutzmann nous emporte dans les profondeurs enchantées du Ring de Wagner, œuvre « totale » dont émergent de purs joyaux orchestraux.
Tous deux à la pointe de la création contemporaine, le chevronné quatuor Third Coast Percussion et le très engagé collectif Movement Art Is s’unissent pour générer Metamorphosis, spectacle qui confronte avec éclat danses urbaines et musiques nouvelles.
Le conte musical Mahaut, fille de bois explore, avec les musiciens de De Caelis et la compagnie de masques et marionnettes Le Carrosse d’or, l’imaginaire visuel et musical du Moyen Âge. Et interroge l’identité, la légitimité, la filiation et l’amour.
Fascinant joyau du cinéma animalier, grand succès public lors de sa sortie en 1996, Microcosmos : Le Peuple de l’herbe – qui filme les insectes au plus près – redouble de puissance suggestive grâce à ce ciné-concert mené par le Yellow Socks Orchestra.
Dans le sillage de l’oiseau qui affronte les périls du changement climatique pour rejoindre les siens, c’est à un envol collectif, grâce à la poésie musicale de Sarah Quartel et à l’enchantement des marionnettes, que nous convie ce concert-anniversaire.
Figure majeure de son instrument, Gautier Capuçon s’associe dans un riche programme à six anciens lauréats de sa classe d’excellence, devenus pour beaucoup des solistes recherchés, en un ensemble inédit de violoncellistes : les Capucelli.
Tous sont conviés à garder le tempo avec ce concert aussi riche que débridé ! Une initiation joyeuse au rythme et au mouvement grâce aux musiciens de l’Orchestre de Paris, au Chœur de jeunes et aux percussions corporelles.
Trois interprètes éminents exaltent un programme résolument ancré au sud : à une œuvre à quatre mains de deux icones de la guitare brésilienne et à une pièce de l’Italien Castelnuovo-Tedesco répond l’emblématique Concerto d’Aranjuez.
Résultat de plusieurs années de recherche sur ce que serait une performance historiquement documentée de Wagner, ce Siegfried est interprété par les musiciens du Concerto Köln et du Dresdner Festspielorchester placés sous la direction de Kent Nagano.
Le duo Janine Jansen et Denis Kozhukhin dans un programme qui adjoint à Brahms, un compositeur qui leur tient particulièrement à cœur, un choix d’œuvres de musique de chambre française du XXe siècle.
Trois lauréates de la troisième édition du concours de cheffes d’orchestre La Maestra se produisent aux côtés de Claire Gibault, instigatrice de cette initiative visant à promouvoir la place des femmes en musique.
Pour le lundi de Pâques, l’oratorio élaboré par Bach pour la même fête il y a exactement 300 ans. Christophe Rousset mène les Talens lyriques dans une partition dont ils sont familiers.
Retour aux origines du plus anglais des compositeurs d’origine allemande avec ces airs intimistes composés entre 1724 et 1726, interprétés par Les Arts Florissants réduits à l’essence de leurs effectifs et les solistes Rowan Pierce et James Way.
Au drame brahmsien, tout en expression d’une nature mystérieuse et sauvage, répond l’une des pages les plus optimistes de Sibelius. Entre les deux : ces derniers chants qui ne sont pas seulement ceux de Strauss, mais un « adieu » au chant romantique.
Rencontre attendue entre le célèbre violoniste français et l’exigeant pianiste, aux programmes toujours ambitieux. Tous deux relèvent le défi des trois Sonates pour violon et piano de Brahms : un concentré de poésie, de brillance et d’héroïsme.
Entre le classicisme limpide de Strauss, l’énergie bondissante d’un Bernstein plus « Broadway » que jamais, la sérénité de Saariaho et la plus souriante des Symphonies de Chostakovitch, ce sont quatre visages de la joie que nous offre ce programme.
Sous la direction de Léo Warynski, l’Ensemble intercontemporain et Les Métaboles proposent une monographie Francesco Filidei, qui s’affirme depuis une décennie comme l’une des plus éminentes figures de la création italienne.
Mort grinçante, mort parodiée, mort toute-puissante, mort conjurée par l’art : c’est à une véritable « thanatographie » musicale que nous invite ce programme où la partition d’Ullmann, arrachée à la terreur nazie, prélude au chef-d’œuvre de Mozart.
Jordi Savall dirige un des ouvrages majeurs du compositeur romantique, dont la création en 1843 lui valut un grand succès : rarement autant que dans Le Paradis et la Péri le chant schumannien ne s’élève avec cette tendresse et cette ferveur.
Soirées exceptionnelles, puisque Thierry Escaich, compositeur à l’honneur, fait en personne sonner les jeux de l’orgue. Hommage au « Bon Dieu de la musique », Bach, ce programme nous entraîne aussi du côté de Shakespeare et de la Ville éternelle.
Accompagné par le chanteur Ralph Thamar et plusieurs musiciens, le percussionniste David Donatien orchestre une grande soirée en hommage au pianiste et compositeur martiniquais Marius Cultier, astre légendaire du jazz caribéen.
Anthony Joseph imagine avec Roger Raspail et Dave Okumu une soirée où le spoken word et l’expérimentation sonore se rencontrent.
Sous la houlette du Quatuor Hermès, l’un des plus éminents de sa génération, rejoint par Mathilde Caldérini à la flûte et Constance Luzzati à la harpe, un hommage à trois compositrices nées au XIXe siècle, trop longtemps négligées.
Après Sol Gabetta dans Chostakovitch, promesse d’un moment captivant, Tugan Sokhiev fait résonner l’envoûtante Septième Symphonie de Bruckner. Qui mieux que la Staatskapelle de Dresde pour en magnifier le lyrisme ?
Programme résolument festif que celui de l’Orchestre Neojiba : après le feu d’artifice de Katia et Marielle Labèque dans le savoureux Concerto pour deux pianos de Poulenc, les Danses symphoniques de West Side Story explosent de rythmes et de couleurs.
À l’occasion du cent-cinquantenaire de sa mort, deuxième soirée Bizet. Après Adèle Charvet et Florian Caroubi en mars, c’est au tour de Reinoud Van Mechelen et d’Anthony Romaniuk d’interpréter un choix de mélodies du compositeur.
Oscillant librement entre cirque, danse et théâtre, François Chat pratique l’art du jonglage en véritable magicien. Avec Métamorphoses, il façonne sur scène une série de captivants tableaux mouvants basés sur des pièces pour piano solo de Philip Glass.
Avec En Masse, mobilisant dix acrobates et trois musiciens sur le plateau, la très novatrice compagnie australienne Circa déploie une renversante création scénique autour des rapports humains axée musicalement autour de pièces de Schubert et Stravinski.
Le duo de haut vol formé par Jonas Kaufmann et Diana Damrau poursuit son exploration du répertoire germanique, toujours accompagné au piano par Helmut Deutsch, grand maître du lied.
Au fil de ce concert de l’Ensemble intercontemporain donné dans le cadre du Festival ManiFeste de l’Ircam, c’est toute une série de figures de plasticiens qui surgit : de Vassili Kandinski à Derek Jarman, en passant par Willem de Kooning et Joan Miró.