Concert symphonique
•
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Programme
Arvo Pärt
Fratres
Erkki-Sven Tüür
Sow the wind
création mondiale, commande de l'Orchestre de Paris et de la Philharmonie de Paris
Entracte
Arvo Pärt
Swan Song
Tabula rasa
Distribution
Orchestre de Paris
Paavo Järvi, direction
Viktoria Mullova, violon
Mari Poll, violon
De la musique de chambre à l’orchestre symphonique, le « minimalisme sacré » d’Arvo Pärt fascine l’auditeur.
Avec Arvo Pärt, la musique minimaliste accueille le sacré. Une singularité que le compositeur estonien déploie dans des contextes chambristes ou symphoniques. Difficile de ne pas parler de fascination face à cet alliage que Pärt rend limpide. Son compatriote Paavo Järvi, à la tête de l’Orchestre de Paris, propose ici des pièces aussi éclectiques que L’Abbé Agathon (2004), Swansong (2014) et deux de ses œuvres les plus jouées, Fratres et Tabula Rasa (1977). « Arvo Pärt m’a vu quand j’étais haut comme trois pommes, raconte Järvi. Je me souviens de son accoutrement quand il venait à la maison, en jeans des pieds à la tête. Il avait même toujours une casquette sur la tête ! Pour moi, il ressemblait à un Occidental. Sa barbe lui donnait également un air assez exotique… Ma vraie rencontre avec sa musique fut lorsque Gidon Kremer et Alfred Schnittke ont joué Tabula Rasa sur scène. Un concert historique ! » Ces œuvres d’Arvo Pärt sont accompagnées par une création d’Erkki-Sven Tüür, Estonien lui aussi, de 25 ans son cadet, influencé notamment par le rock et qui use des secrets de la musique répétitive.
Avec Arvo Pärt, la musique minimaliste accueille le sacré. Une singularité que le compositeur estonien déploie dans des contextes chambristes ou symphoniques. Difficile de ne pas parler de fascination face à cet alliage que Pärt rend limpide. Son compatriote Paavo Järvi, à la tête de l’Orchestre de Paris, propose ici des pièces aussi éclectiques que L’Abbé Agathon (2004), Swansong (2014) et deux de ses œuvres les plus jouées, Fratres et Tabula Rasa (1977). « Arvo Pärt m’a vu quand j’étais haut comme trois pommes, raconte Järvi. Je me souviens de son accoutrement quand il venait à la maison, en jeans des pieds à la tête. Il avait même toujours une casquette sur la tête ! Pour moi, il ressemblait à un Occidental. Sa barbe lui donnait également un air assez exotique… Ma vraie rencontre avec sa musique fut lorsque Gidon Kremer et Alfred Schnittke ont joué Tabula Rasa sur scène. Un concert historique ! » Ces œuvres d’Arvo Pärt sont accompagnées par une création d’Erkki-Sven Tüür, Estonien lui aussi, de 25 ans son cadet, influencé notamment par le rock et qui use des secrets de la musique répétitive.
Coproduction Orchestre de Paris, Philharmonie de Paris
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris