Concert symphonique
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
2h30
dont 1 entracte
Programme
Carl Nielsen
Aladdin (Suite)
Dmitri Chostakovitch
Concerto pour violon n°1
Entracte
Franz Schubert
Symphonie n° 9 "La Grande"
Distribution
Orchestre de Paris
Paavo Järvi, direction
Lisa Batiashvili, violon
Afin de préparer votre venue et de faciliter les contrôles liés au plan Vigipirate renforcé à la Philharmonie de Paris, nous vous remercions de vous présenter aux entrées en avance.
1839 : Mendelssohn dirige la Neuvième de Schubert à Leipzig, onze ans après la mort du compositeur. 1919 : Carl Nielsen compose une musique de scène pour une féerie dramatique intitulée Aladdin, au Théâtre royal de Copenhague. 1947 : en pleine censure jdanovienne, Chostakovitch écrit son Premier Concerto pour violon, dédié à David Oïstrakh.
Le Premier Concerto pour violon, diabolique selon David Oïstrakh, son créateur, fascine Lisa Batiashvili depuis des années : « Cette partition évoque la peur, le désespoir, l’angoisse, l’ironie et le sarcasme. Le finale se situe en quelque sorte après la vie ; c’est une danse aux enfers. ». L’au-delà des choses terrestres est également le propos de la Grande Symphonie en ut majeur de Schubert. Tout un monde de nostalgie, d’angoisses et de plénitude s’y déploie. Schubert, comme Chostakovitch, excellent à sonder les tréfonds de l’âme et à sublimer la condition humaine par l’intensité de leurs partitions.
1839 : Mendelssohn dirige la Neuvième de Schubert à Leipzig, onze ans après la mort du compositeur. 1919 : Carl Nielsen compose une musique de scène pour une féerie dramatique intitulée Aladdin, au Théâtre royal de Copenhague. 1947 : en pleine censure jdanovienne, Chostakovitch écrit son Premier Concerto pour violon, dédié à David Oïstrakh.
Le Premier Concerto pour violon, diabolique selon David Oïstrakh, son créateur, fascine Lisa Batiashvili depuis des années : « Cette partition évoque la peur, le désespoir, l’angoisse, l’ironie et le sarcasme. Le finale se situe en quelque sorte après la vie ; c’est une danse aux enfers. ». L’au-delà des choses terrestres est également le propos de la Grande Symphonie en ut majeur de Schubert. Tout un monde de nostalgie, d’angoisses et de plénitude s’y déploie. Schubert, comme Chostakovitch, excellent à sonder les tréfonds de l’âme et à sublimer la condition humaine par l’intensité de leurs partitions.
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris