Concert symphonique
•
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
1h45
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Christopher Rouse
Prospero's Rooms
Aram Khatchatourian
Concerto pour violon
Entracte
Modeste Moussorgski, Maurice Ravel
Tableaux d'une exposition
Orchestre National d'Île-de-France
Case Scaglione
, direction
Nathan Meltzer
, violon
Nathan Meltzer et Casa Scaglione font vibrer les plus belles pages de Khatchatourian et Moussorgski.
Le mordant et la virtuosité sont caractéristiques du Concerto d’Aram Khatchatourian qui, plus que toute autre, traduit l’âme arménienne dans toute sa force. Créée en 1940 par David Oïstrakh, il est devenu célèbre grâce à ses premières pages où le violoniste sollicite sans ménagement et très rythmiquement la corde grave de son instrument ; les passages lyriques n’en ont que plus de relief, les mélodies s’envolent, sans limite, comme un chant éternel. Modeste Moussorgski réalise également un travail de mémoire lorsqu’il compose pour le piano les Tableaux d’une exposition (1874) : il s’inspire d’une rétrospective réalisée à partir des tableaux de son ami architecte Viktor Hartmann qui venait de disparaître. En 1922, Maurice Ravel prolonge les intentions du compositeur russe en réalisant une orchestration flamboyante. Pour ouvrir ce concert, l’ouverture composée en 2011 par l’Américain Christopher Rouse (né en 1949) pour le New York Philharmonic évoque le souvenir du Masque de la mort rouge, la nouvelle fantastique d’Edgar Allan Poe.
Le mordant et la virtuosité sont caractéristiques du Concerto d’Aram Khatchatourian qui, plus que toute autre, traduit l’âme arménienne dans toute sa force. Créée en 1940 par David Oïstrakh, il est devenu célèbre grâce à ses premières pages où le violoniste sollicite sans ménagement et très rythmiquement la corde grave de son instrument ; les passages lyriques n’en ont que plus de relief, les mélodies s’envolent, sans limite, comme un chant éternel. Modeste Moussorgski réalise également un travail de mémoire lorsqu’il compose pour le piano les Tableaux d’une exposition (1874) : il s’inspire d’une rétrospective réalisée à partir des tableaux de son ami architecte Viktor Hartmann qui venait de disparaître. En 1922, Maurice Ravel prolonge les intentions du compositeur russe en réalisant une orchestration flamboyante. Pour ouvrir ce concert, l’ouverture composée en 2011 par l’Américain Christopher Rouse (né en 1949) pour le New York Philharmonic évoque le souvenir du Masque de la mort rouge, la nouvelle fantastique d’Edgar Allan Poe.
Production Orchestre national d'Île-de-France
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris