Concert symphonique
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
1h50
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Alban Berg
Concerto pour violon "A la mémoire d'un ange"
Entracte
Ludwig van Beethoven
Le Christ au mont des Oliviers
London Symphony Orchestra
London Symphony Chorus
Sir Simon Rattle
, direction
Lisa Batiashvili
, violon
Elsa Dreisig
, soprano
Pavol Breslik
, ténor
David Soar
, basse
Lisa Batiashvili est la soliste rayonnante du Concerto « À la mémoire d’un ange », une des œuvres les plus fortes de Berg, avant que Simon Rattle et les forces orchestrales et vocales du London Symphony Orchestra se mesurent au seul oratorio de Beethoven.
En février 1935, le violoniste Louis Krasner commanda à Berg un concerto pour violon alors que celui-ci travaillait à son opéra Lulu. Dédié à la mémoire de la fille d’Alma Mahler et de Walter Gropius, disparue prématurément, le concerto se caractérise par l’exquise tendresse de son écriture qui lui valut rapidement une grande popularité. L’Adagio final, constitué de variations sur le choral Es ist genug de Bach, apporte une certaine consolation. Écrit très rapidement sur un livret du poète Franz Xaver Huber, le seul oratorio de Beethoven fut créé à Vienne en 1803, en même temps que la Deuxième Symphonie. Il a pour décor le jardin de Gethsémani, où le Christ avait prié avant sa crucifixion. À sa création, la critique fut mitigée. Il ne s’agit pourtant pas d’une œuvre mineure : à certains égards elle annonce Fidelio.
En février 1935, le violoniste Louis Krasner commanda à Berg un concerto pour violon alors que celui-ci travaillait à son opéra Lulu. Dédié à la mémoire de la fille d’Alma Mahler et de Walter Gropius, disparue prématurément, le concerto se caractérise par l’exquise tendresse de son écriture qui lui valut rapidement une grande popularité. L’Adagio final, constitué de variations sur le choral Es ist genug de Bach, apporte une certaine consolation. Écrit très rapidement sur un livret du poète Franz Xaver Huber, le seul oratorio de Beethoven fut créé à Vienne en 1803, en même temps que la Deuxième Symphonie. Il a pour décor le jardin de Gethsémani, où le Christ avait prié avant sa crucifixion. À sa création, la critique fut mitigée. Il ne s’agit pourtant pas d’une œuvre mineure : à certains égards elle annonce Fidelio.
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
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