Concert symphonique
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
1h55
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Alban Berg
Sieben frühe Lieder
Passacaglia
Trois Pièces op. 6
Entracte
Ludwig van Beethoven
Symphonie n° 7
London Symphony Orchestra
Sir Simon Rattle
, direction
Dorothea Röschmann
, soprano
Une Passacaille d’une étonnante densité, le charme des Lieder de jeunesse, les cataclysmiques Pièces op. 6 : Simon Rattle dresse un riche portrait du plus lyrique des Viennois, avant l’« apothéose de la danse » que constitue la Septième Symphonie de Beethoven.
Étonnante découverte que cette Passacaglia de Berg. On retrouve dans ce fragment symphonique publié seulement en 1984 le climat des Altenberg Lieder et des Pièces op. 6. Très sévère avec lui-même, le compositeur autrichien n’avait guère d’estime à l’endroit de ses quelque 80 Lieder de jeunesse. Le fait qu’il décida en 1928 d’orchestrer sept d’entre eux, écrits une vingtaine d’années auparavant, dit son attachement à l’égard de ces pages d’un grand charme. Les Pièces op. 6, triptyque d’une telle complexité de mise en place qu’il est rarement joué en concert, ouvrent un autre monde. Au-delà des prodiges d’écriture, la partition fascine par sa puissance éruptive. Force émotionnelle aussi avec la Symphonie n°7 de Beethoven qui, après les ténèbres, apporte une lumière bienvenue : une « apothéose de la danse » jubilatoire.
Étonnante découverte que cette Passacaglia de Berg. On retrouve dans ce fragment symphonique publié seulement en 1984 le climat des Altenberg Lieder et des Pièces op. 6. Très sévère avec lui-même, le compositeur autrichien n’avait guère d’estime à l’endroit de ses quelque 80 Lieder de jeunesse. Le fait qu’il décida en 1928 d’orchestrer sept d’entre eux, écrits une vingtaine d’années auparavant, dit son attachement à l’égard de ces pages d’un grand charme. Les Pièces op. 6, triptyque d’une telle complexité de mise en place qu’il est rarement joué en concert, ouvrent un autre monde. Au-delà des prodiges d’écriture, la partition fascine par sa puissance éruptive. Force émotionnelle aussi avec la Symphonie n°7 de Beethoven qui, après les ténèbres, apporte une lumière bienvenue : une « apothéose de la danse » jubilatoire.
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
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Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris
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