Concert symphonique
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
1h25
Programme
Sergueï Prokofiev
Symphonie n° 1 "Classique"
Dmitri Chostakovitch
Concerto pour violoncelle n° 1
Franz Schubert
Symphonie n° 8 "Inachevée"
Distribution
Münchner Philharmoniker
Valery Gergiev, direction
Sol Gabetta, violoncelle
Ce concert est annulé. Vos billets vous seront remboursés.
Après avoir exploré la face classique de Prokofiev et les contrastes du Premier Concerto pour violoncelle de Chostakovitch, Valery Gergiev dirige les Münchner Philharmoniker dans la Symphonie « Inachevée » de Schubert, partition énigmatique entre toutes.
Bien que restée inachevée, la Huitième Symphonie de Schubert compte parmi les pages du répertoire orchestral les plus inspirées jamais écrites. Cette œuvre à la fois sombre et éthérée, traversée de forces obscures mais irrésistiblement attirée vers la lumière, ne fut créée à Vienne qu’en 1865, quarante-trois ans après sa composition. Aucun nuage en revanche ne vient obscurcir le ciel de la détendue, limpide et ludique Symphonie « Classique » de Prokofiev. Son surnom atteste ses proportions parfaites, tout comme l’absence de la moindre provocation, qui avait pourtant fait la réputation du jeune fauve de la musique russe. Dans son Premier Concerto pour violoncelle, écrit pour Mstislav Rostropovitch et magnifié aujourd'hui par l’archet de Sol Gabetta, Chostakovitch puise dans les ressources de la forme cyclique pour atteindre l’unité formelle et la densité expressive.
Après avoir exploré la face classique de Prokofiev et les contrastes du Premier Concerto pour violoncelle de Chostakovitch, Valery Gergiev dirige les Münchner Philharmoniker dans la Symphonie « Inachevée » de Schubert, partition énigmatique entre toutes.
Bien que restée inachevée, la Huitième Symphonie de Schubert compte parmi les pages du répertoire orchestral les plus inspirées jamais écrites. Cette œuvre à la fois sombre et éthérée, traversée de forces obscures mais irrésistiblement attirée vers la lumière, ne fut créée à Vienne qu’en 1865, quarante-trois ans après sa composition. Aucun nuage en revanche ne vient obscurcir le ciel de la détendue, limpide et ludique Symphonie « Classique » de Prokofiev. Son surnom atteste ses proportions parfaites, tout comme l’absence de la moindre provocation, qui avait pourtant fait la réputation du jeune fauve de la musique russe. Dans son Premier Concerto pour violoncelle, écrit pour Mstislav Rostropovitch et magnifié aujourd'hui par l’archet de Sol Gabetta, Chostakovitch puise dans les ressources de la forme cyclique pour atteindre l’unité formelle et la densité expressive.
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris
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