Concert symphonique
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
2h05
dont 1 entracte
Programme
Ludwig van Beethoven
Quatuor op. 95
Version pour orchestre à cordes
Wolfgang Amadeus Mozart
Concerto pour piano n° 19
Entracte
Fantaisie en ré mineur K. 397
Concerto pour piano n° 20
Distribution
Camerata Salzburg
Hélène Grimaud, piano
Compte tenu de la situation sanitaire actuelle, les artistes de ce concert sont dans l’incapacité de se déplacer en France. Le concert est donc annulé.
On ne saurait imaginer œuvres plus dissemblables, quant au style et à l’expression, que les concertos en fa majeur et en ré mineur de Mozart, pourtant composés à quelque mois d’intervalle. Au clavier, Hélène Grimaud nous dévoile leurs trésors.
Vraisemblablement joué en 1790 lors du couronnement de Leopold II, le Dix-neuvième Concerto pour piano a été parfois affublé du surnom de « Premier concerto du Couronnement » (en référence au Vingt-sixième). Allègre et serein, il incarne le visage le plus lumineux de Mozart, offrant un fort contraste avec le Vingtième Concerto, lequel tient une place résolument à part dans la série des vingt-sept. Traversé d’un souffle qui annonce le romantisme, il reste peut-être le plus tragique de tous. Hélène Grimaud le fait précéder de la Fantaisie K 397 de Mozart, confession intime des plus bouleversantes. Le Onzième Quatuor (Quartetto serioso) de Beethoven, dont nous est proposé la version pour orchestre à cordes, fut écrit vers 1814 alors que le compositeur traversait une période délicate. Il frappe par l’ampleur de ses proportions, la vigueur de ses traits et la maîtrise du discours.
On ne saurait imaginer œuvres plus dissemblables, quant au style et à l’expression, que les concertos en fa majeur et en ré mineur de Mozart, pourtant composés à quelque mois d’intervalle. Au clavier, Hélène Grimaud nous dévoile leurs trésors.
Vraisemblablement joué en 1790 lors du couronnement de Leopold II, le Dix-neuvième Concerto pour piano a été parfois affublé du surnom de « Premier concerto du Couronnement » (en référence au Vingt-sixième). Allègre et serein, il incarne le visage le plus lumineux de Mozart, offrant un fort contraste avec le Vingtième Concerto, lequel tient une place résolument à part dans la série des vingt-sept. Traversé d’un souffle qui annonce le romantisme, il reste peut-être le plus tragique de tous. Hélène Grimaud le fait précéder de la Fantaisie K 397 de Mozart, confession intime des plus bouleversantes. Le Onzième Quatuor (Quartetto serioso) de Beethoven, dont nous est proposé la version pour orchestre à cordes, fut écrit vers 1814 alors que le compositeur traversait une période délicate. Il frappe par l’ampleur de ses proportions, la vigueur de ses traits et la maîtrise du discours.
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris
Pour repartir après ce concert
taxi G7