Concert symphonique
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Programme
Igor Stravinski
Symphonies d'instruments à vent
Symphonie en trois mouvements
Capriccio pour piano et orchestre
Petrouchka
Distribution
Orchestre de Paris
Valery Gergiev, direction
Denis Matsuev, piano
Toute la richesse contrastée de l’œuvre orchestrale d’Igor Stravinski est condensée dans ce concert, véritable vitrine d’un art qui demeure l’un des symboles de la modernité musicale du vingtième siècle.
Hommage à Debussy, mais sans nul esprit d’imitation ou de pastiche, les Symphonies d’instruments à vent témoignent, avec leur style incantatoire, de l’extrême précision de l’écriture de Stravinski, que l’on retrouve dans la Symphonie en trois mouvements, œuvre « de guerre » faisant alterner brutalité motoriste, dans le style de Prokofiev, et moments de grâce contemplative.
Avec ses trois mouvements contrastés, l’élégant Capriccio pour piano et orchestre témoigne, avec son style de toccata, du goût de Stravinski pour les formes pré-classiques, tandis que Petrouchka nous entraîne dans le grisant Carnaval russe. Les aventures du célèbre Polichinelle, en quatre tableaux « burlesques », permettent au compositeur de déployer tout l’éventail de son art : airs de fête païenne, fragments de liturgie, danses folkloriques, combats et mort de Petrouchka se succèdent en un inoubliable festival d’inventivité sonore, harmonique et rythmique.
Hommage à Debussy, mais sans nul esprit d’imitation ou de pastiche, les Symphonies d’instruments à vent témoignent, avec leur style incantatoire, de l’extrême précision de l’écriture de Stravinski, que l’on retrouve dans la Symphonie en trois mouvements, œuvre « de guerre » faisant alterner brutalité motoriste, dans le style de Prokofiev, et moments de grâce contemplative.
Avec ses trois mouvements contrastés, l’élégant Capriccio pour piano et orchestre témoigne, avec son style de toccata, du goût de Stravinski pour les formes pré-classiques, tandis que Petrouchka nous entraîne dans le grisant Carnaval russe. Les aventures du célèbre Polichinelle, en quatre tableaux « burlesques », permettent au compositeur de déployer tout l’éventail de son art : airs de fête païenne, fragments de liturgie, danses folkloriques, combats et mort de Petrouchka se succèdent en un inoubliable festival d’inventivité sonore, harmonique et rythmique.
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris
Pour repartir après ce concert
taxi G7