L’Orchestre de Paris a noué depuis plusieurs années un lien artistique fort avec la cheffe américaine Karina Canellakis. Le violoncelliste français Jean-Guihen Queyras est l’un de ses solistes de prédilection pour les pages concertantes du répertoire. 

L’opéra La Petite Renarde rusée est inspiré au compositeur tchèque par une bande dessinée parue dans la presse. Son héroïne, Lyška Bystrouška (Renard Fines-Oreilles), provient directement des contes populaires animaliers. Janáček avait 70 ans lors de la création : preuve que l’on peut garder longtemps son âme d’enfant.

À travers le titre de ses Variations « rococo », Tchaïkovski fait référence au XVIIIe siècle et à Mozart qu’il vénère. « C’est lui qui a donné la première impulsion à mes forces créatrices et qui m’a fait aimer la musique plus que tout au monde », écrit-il.

La vitalité rythmique de la Symphonie n° 7 provoque de forts émois lors de sa création. Si Weber déclare Beethoven « mûr pour l’asile », Wagner y verra « l’apothéose de la danse ».

Le concert du jeudi 6 février à 20h fait partie du dispositif inclusif Relax. Il permet aux personnes dont le handicap (autisme, polyhandicap, handicap intellectuel, handicap psychique, maladie d’Alzheimer…) est susceptible d’entraîner des comportements imprévisibles de profiter d’un concert, avec les autres spectateurs, en vivant leurs émotions sans contrainte, grâce à des codes de salle assouplis.

Pour plus de renseignements, les tarifs et les modalités de réservation.

Demande de réservation par mail à accessibilite@philharmoniedeparis.fr