Concert vocal
•
Salle des concerts - Cité de la musique
•
Durée : environ
1h52
dont 1 entracte
Programme
Arnold Schönberg
Symphonie de chambre n° 1
Entracte
Gustav Mahler
Das Lied von der Erde
Arrangement Arnold Schönberg
Distribution
Orchestre de chambre de Paris
Douglas Boyd, direction
Bernarda Fink, mezzo-soprano
Michael Schade, ténor
Interprètes hors pair du répertoire du début du vingtième siècle, Bernarda Fink et Michael Schade nous transportent dans l’univers irréel du Chant de la terre de Gustav Mahler.
Voici une étonnante version réalisée par Arnold Schönberg du Chant de la terre (Das Lied von der Erde), ces six immenses lieder inspirés en partie par la lecture d’un recueil de poésies chinoises. S’agit-il d’une symphonie avec voix ou d’un cycle de six mélodies ? La diversité des sentiments exprimés se révèle dans le choix des voix, un choix « cornélien ». Héroïque dans l’introduction, le ténor devient lyrique dans le troisième lied. En choisissant des poèmes chinois adaptés en allemand par Hans Bethge, Mahler ne cherche pas tant l’exotisme que l’étonnement face aux beautés terrestres : « La terre respire, toute calme et ensommeillée… Les oiseaux sont blottis, silencieux, sur leurs branches. Le monde s’endort. » De la même époque, la Première Symphonie de chambre de Schönberg porte l’univers tonal jusqu’à sa frontière la plus extrême. Une œuvre bouleversante.
Voici une étonnante version réalisée par Arnold Schönberg du Chant de la terre (Das Lied von der Erde), ces six immenses lieder inspirés en partie par la lecture d’un recueil de poésies chinoises. S’agit-il d’une symphonie avec voix ou d’un cycle de six mélodies ? La diversité des sentiments exprimés se révèle dans le choix des voix, un choix « cornélien ». Héroïque dans l’introduction, le ténor devient lyrique dans le troisième lied. En choisissant des poèmes chinois adaptés en allemand par Hans Bethge, Mahler ne cherche pas tant l’exotisme que l’étonnement face aux beautés terrestres : « La terre respire, toute calme et ensommeillée… Les oiseaux sont blottis, silencieux, sur leurs branches. Le monde s’endort. » De la même époque, la Première Symphonie de chambre de Schönberg porte l’univers tonal jusqu’à sa frontière la plus extrême. Une œuvre bouleversante.
Coproduction Orchestre de chambre de Paris, Philharmonie de Paris
Salle des concerts - Cité de la musique
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris