Concert
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Cité de la musique - Salle des concerts
•
Durée : environ
1h25
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Luigi Nono
No hay caminos, hay que caminar... Andrej Tarkovskij
Entracte
Luciano Berio
Sinfonia
Ensemble intercontemporain
Orchestre du Conservatoire de Paris
The Swingle Singers
Jonathan Nott
, direction
Sans slogans tonitruants, c’est de l’être-ensemble dont parlent Nono et Berio.
Nono, d’abord. Dans No hay caminos (1987), les sept groupes instrumentaux rendent hommage au cinéaste Andreï Tarkovski. Nono prend pour titre une phrase inscrite sur le mur d’un cloître de Tolède : « Marcheurs, il n’y a pas de chemins, il n’y a qu’à marcher ». Une invite, en l’absence de pistes avérées et sûres, à refuser les dogmes et les parcours préétablis pour s’ouvrir à l’utopie collective, pacifique et libre.
Berio, ensuite : sa Sinfonia de 1968, dont le titre doit être entendu au sens étymologique de « jouer ensemble », fait référence dans son deuxième mouvement à Martin Luther King, avec une partie vocale constituée par les lettres de son nom.
> Voir une vidéo de Sinfonia dirigé par Simon Rattle.
Nono, d’abord. Dans No hay caminos (1987), les sept groupes instrumentaux rendent hommage au cinéaste Andreï Tarkovski. Nono prend pour titre une phrase inscrite sur le mur d’un cloître de Tolède : « Marcheurs, il n’y a pas de chemins, il n’y a qu’à marcher ». Une invite, en l’absence de pistes avérées et sûres, à refuser les dogmes et les parcours préétablis pour s’ouvrir à l’utopie collective, pacifique et libre.
Berio, ensuite : sa Sinfonia de 1968, dont le titre doit être entendu au sens étymologique de « jouer ensemble », fait référence dans son deuxième mouvement à Martin Luther King, avec une partie vocale constituée par les lettres de son nom.
> Voir une vidéo de Sinfonia dirigé par Simon Rattle.
Coproduction Cité de la musique, Ensemble intercontemporain et Conservatoire de Paris.