Concert
•
adulte
•
Cité de la musique - Amphithéâtre
Programme
Distribution
William Cornysh
Woefully arrayed
Orlando Gibbons
Hosanna to the son of David
Thomas Tallis
O sacrum convivium
Roland de Lassus
In monte Oliveti
John Sheppard
I give you a new commandment
Thomas Tallis
Salvator mundi
Tomás Luis de Victoria
O vos omnes
Cristóbal de Morales
O Crux, ave
Roland de Lassus
Vide homo
Entracte
John Taverner
Dum transisset Sabbatum
Nicolas Gombert
Tulerunt Dominum meum
Francisco Guerrero
Maria Magdalene
Orlando Gibbons
I am the Ressurection
Thomas Crecquillon
Congratulamini mihi
Jean Lhéritier
Surrexit pastor bonus
William Byrd
In resurrectione tua
Thomas Campion
Never Weather beaten Sail
(bis)
Stile Antico
Helen Ashby
, soprano
Kate Ashby
, soprano
Rebecca Hickey
, soprano
Emma Ashby
, alto
Cara Curran
, alto
Eleanor Harries
, alto
Jim Clements
, ténor
Andrew Griffiths
, ténor
Benedict Hymas
, ténor
Will Dawes
, basse
Oliver Hunt
, basse
Matthew O'Donovan
, basse
L’ensemble Stile antico, qui a notamment accompagné Sting dans ses Songs from the Labyrinth, propose un voyage retraçant les événements religieux de la Semaine sainte et de la Passion du Christ vus à travers le prisme des oeuvres chorales anglaises ou continentales du XVIe siècle.
Au début du règne des Tudor, l’Angleterre était encore un pays catholique, doté d’une musique religieuse célèbre par sa magnificence et sa virtuosité vocale. La réforme a préconisé, au contraire, la simplicité et l’intelligibilité des mots. Élisabeth I décréta ainsi, en 1559, que les chants de l’Église devaient être « modestes » pour que les paroles soient comprises « comme si elles étaient lues ». Après la splendeur des oeuvres latines d’un John Sheppard, il revint à des compositeurs comme William Byrd ou Orlando Gibbons de se mesurer avec génie à cette nouvelle esthétique du culte.
Au début du règne des Tudor, l’Angleterre était encore un pays catholique, doté d’une musique religieuse célèbre par sa magnificence et sa virtuosité vocale. La réforme a préconisé, au contraire, la simplicité et l’intelligibilité des mots. Élisabeth I décréta ainsi, en 1559, que les chants de l’Église devaient être « modestes » pour que les paroles soient comprises « comme si elles étaient lues ». Après la splendeur des oeuvres latines d’un John Sheppard, il revint à des compositeurs comme William Byrd ou Orlando Gibbons de se mesurer avec génie à cette nouvelle esthétique du culte.
