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Paul Agnew : Les Arts Florissants
du 26 au 27 novembre 2012
Toute la programmation

Les Arts Florissants, direction Paul Agnew

Madrigaux (Livre IV)
Concert
Cité de la musique - Amphithéâtre
Durée : environ 1h40 dont 1 entracte

Programme

Distribution

1ère Partie
Benedetto Pallavicino
Cruda Amarilli che co'l nome ancora (Prima parte)
(extrait du Sesto Libro de Madrigali a cinque voci, 1600)
Ma grideran per me le piaggie ei monti (Seconda parte)
(extrait du Sesto Libro de Madrigali a cinque voci, 1600)
Giaches de Wert
Ah, dolente partita
(extraits de Di Giaches de Wert l'undecimo libro de Madrigali a cinque voci, 1595)
Cruda Amarilli che co'l nome ancora (Prima parte)
(extraits de Di Giaches de Wert l'undecimo libro de Madrigali a cinque voci, 1595)
Ma grideran per me le piaggie ei monti (Seconda parte)
(extraits de Di Giaches de Wert l'undecimo libro de Madrigali a cinque voci, 1595)
Claudio Monteverdi
Il quarto libro de madrigali (1603)
Ah, dolente partita
Cor mio, mentre vi miro
Cor mio, non mori? E mori!
Sfogava con le stelle
Volgea l’anima mia soavemente
Anima mia, perdona
Che se tu sei il cor mio
Entracte
2ème Partie
Claudio Monteverdi
Il quarto libro de madrigali (1603)
Luci serene e chiare
La piaga c’ho nel core
Voi pur da me partite
A un giro sol
Ohimè, se tanto amate
Io mi son giovinetta
Quell’augellin che canta
Non più guerra, pietate
Sì, ch’io vorrei morire
Anima dolorosa
Sì, ch’io vorrei morire
BIS
Benedetto Pallavicino
Cruda Amarilli che co'l nome ancora (Prima parte)
(extrait du Sesto Libro de Madrigali a cinque voci, 1600)
BIS
Les Arts Florissants
Paul Agnew , direction, ténor
Francesca Boncompagni , soprano
Maud Gnidzaz , soprano
Lucile Richardot , contralto
Sean Clayton , ténor
Lisandro Abadie , basse
C’est à propos des madrigaux du Quatrième livre de Monteverdi que l’un de ses contemporains — le chanoine de Bologne Giovanni Maria Artusi, attaché aux valeurs anciennes de la polyphonie — parla d’un « mélange de voix » et d’une « rumeur d’harmonies insupportables aux sens ». Si ce recueil, publié en 1603, a pu susciter pareille réaction, c’est parce qu’il témoigne d’une liberté souveraine dans la manière de plier la musique aux moindres nuances du texte. Le compositeur déploie des trésors d’invention pour peindre musicalement un décor pastoral ou rendre presque tangible un soupir, un baiser, une voluptueuse défaillance… Les Arts Florissants, qui poursuivent leur intégrale des madrigaux de Monteverdi entamée en 2011-2012, savent en restituer à merveille toutes les inflexions expressives.
Les Arts Florissants sont soutenus par le ministère de la culture et de la communication, la ville de Caen et la région Basse-Normandie. Ils sont en résidence au Théâtre de Caen. Imerys et Alstom sont Grands Mécènes des Arts Florissants.