Concert
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Cité de la musique - Salle des concerts
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Durée : environ
1h40
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Claudio Monteverdi
Lamento d'Arianna
Lamento d'Arianna
Zefiro torna e'l bel tempo rimena
Una donna fra l'altre
A Dio, Florida bella
Sestina, Lagrima d'Amante al Sepolcro dell'Amata
Entracte
Ohimè il bel viso
Que rise, o Tirsi
Misero Alceo
Batto, qui pianse Ergasto
Presso un fiume tranquillo
bis
Claudio Monteverdi
Zefiro torna e'l bel tempo rimena
Les Arts Florissants
Paul Agnew
, direction, ténor
Miriam Allan
, soprano
Hannah Morrison
, soprano
Maud Gnidzaz
, soprano
Lucile Richardot
, mezzo-soprano
Sean Clayton
, ténor
Cyril Constanzo
, basse
Massimo Moscardo
, théorbe, luth
Jonathan Rubin
, théorbe, luth
Florian Carré
, clavecin
Nanja Breedjik
, harpe
Les Arts Florissants poursuivent leur intégrale des madrigaux de Monteverdi, entamée en 2011-2012 à la Cité de la musique, en partenariat avec le Théâtre de Caen.
Publié en 1614, le Sixième livre s’ouvre sur une transcription du célèbre Lamento d’Arianna, seul fragment ayant survécu de l’opéra que Monteverdi avait composé pour les festivités de 1608 à la cour de Mantoue. La musique épouse les états d’âme de l’héroïne pour peindre le tableau de la détresse d’une femme, qui donne le ton à l’ensemble du recueil : le Sixième livre se compose en grande partie d’adieux, sur des poèmes de Pétrarque (adressés à Laura, sa bien-aimée) ou de Gian Battista Marino.
Dans le madrigal conclusif, un Dialogue à sept, Monteverdi anticipe sur le registre guerrier qui sera celui de la célébration de l’amour dans son Huitième livre.
Publié en 1614, le Sixième livre s’ouvre sur une transcription du célèbre Lamento d’Arianna, seul fragment ayant survécu de l’opéra que Monteverdi avait composé pour les festivités de 1608 à la cour de Mantoue. La musique épouse les états d’âme de l’héroïne pour peindre le tableau de la détresse d’une femme, qui donne le ton à l’ensemble du recueil : le Sixième livre se compose en grande partie d’adieux, sur des poèmes de Pétrarque (adressés à Laura, sa bien-aimée) ou de Gian Battista Marino.
Dans le madrigal conclusif, un Dialogue à sept, Monteverdi anticipe sur le registre guerrier qui sera celui de la célébration de l’amour dans son Huitième livre.
Les Arts Florissants sont soutenus par le ministère de la culture et de la communication, la ville de Caen et la région Basse-Normandie. Ils sont en résidence au Théâtre de Caen. Imerys et Alstom sont Grands Mécènes des Arts Florissants