Concert
•
Salle Pleyel
•
Durée : environ
1h45
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Heinrich Marschner
Hans Heiling
(Ouverture)
Wolfgang Amadeus Mozart
Concerto n°7 pour trois pianos
Entracte
Felix Mendelssohn
Symphonie n° 3 "Ecossaise"
Orchestre de Paris
Cornelius Meister
, direction
David Bismuth
, piano
Adam Laloum
, piano
Emmanuel Christien
, piano
Le jeune chef Cornelius Meister fait ses débuts à l’Orchestre de Paris avec un programme original. Une découverte d’abord, avec le compositeur Heinrich Marschner. Peu connu en France, c’est le grand compositeur d’opéra entre Weber et Wagner, dans l’Allemagne du milieu du XIXe siècle. Il se fit une spécialité des thèmes surnaturels et l’ouverture de son opéra le plus connu - Hans Heiling - frissonne de mystère et de prémonition !
Marschner à Hanovre est loin de Mendelssohn installé à Leipzig, mais les deux 2 œuvres sont contemporaines. La Symphonie Écossaise est dans la même veine, candide, populaire, propre à s’étonner, à s’émerveiller, jusqu’à son final rutilant.Le Concerto n° 7 de Mozart, demande beaucoup d’écoute et de connivence, entre le chef et les solistes. Il se situe entre magie et fantaisie, comme des chatons chamailleurs. L’Orchestre de Paris ne l’a donné qu’une fois en 1969, au festival d’Aix en Provence, avec Herbert von Karajan, Christoph Eschenbach et Jorg Demus.
Marschner à Hanovre est loin de Mendelssohn installé à Leipzig, mais les deux 2 œuvres sont contemporaines. La Symphonie Écossaise est dans la même veine, candide, populaire, propre à s’étonner, à s’émerveiller, jusqu’à son final rutilant.Le Concerto n° 7 de Mozart, demande beaucoup d’écoute et de connivence, entre le chef et les solistes. Il se situe entre magie et fantaisie, comme des chatons chamailleurs. L’Orchestre de Paris ne l’a donné qu’une fois en 1969, au festival d’Aix en Provence, avec Herbert von Karajan, Christoph Eschenbach et Jorg Demus.