Concert
Grand Soir - Cabinet de curiosités
Ensemble intercontemporain - Léo Warynski - Nouno, Mozart, Šušak, Monnet, Kagel, Neuwirth
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- Navettes gratuites
Vendredi 13 mars 2020 — 20h30
Annulé
Programme
Gilbert Nouno
Feed Back, pour trois triangles et électronique
commande de l'Ensemble intercontemporain
création
Wolfgang Amadeus Mozart
Adagio et Rondo K617, pour harmonica de verre, flûte, hautbois et violoncelle
Hristina Šušak
Oeuvre nouvelle
commande de l'Ensemble intercontemporain/ création
Entracte
Marc Monnet
Bosse, crâne rasé, nez crochu, pour deux pianos et ensemble avec électronique (extraits)
Entracte
Mauricio Kagel
Die Stücke der Windrose: Osten, pour orchestre de salon
Die Stücke der Windrose: Nordwesten, pour orchestre de salon
Olga Neuwirth
Lonicera Caprifolium, pour ensemble et bande
Distribution
- Ensemble intercontemporain
- Léo Warynski, direction
- Gilles Durot, percussions
- Hidéki Nagano, piano
- Dimitri Vassilakis, piano
- Friedrich Heinrich Kern, harmonica de verre
- Gilbert Nouno, électronique live, vidéo
Un cabinet de curiosités, c’est une pièce où sont exposées des choses rares, nouvelles ou singulières, mélange hétéroclite d’objets naturels, artificiels et scientifiques. C’est à ce péché mignon que se livre pour nous l’Ensemble intercontemporain.
Comme tout cabinet de curiosités qui se respecte, l’attrait de chacun de ses éléments a trait aux aspects les plus divers et variés. L’instrumentarium est souvent insolite, ainsi ce Feed back pour trois triangles et électronique de Gilbert Nouno, ou ce glassharmonica, qui file ses sons cristallins de Mozart à Clara Iannotta. Les sources d’inspiration sont aussi disparates que réjouissantes : les arabesques du chèvrefeuille des jardins servent de modèle à Olga Neuwirth, tandis que Die Stücke der Windrose de Kagel mêle indistinctement des objets sonores trouvés aux quatre coins de la planète. Marc Monnet, enfin, qui a hérité de son maître Kagel son sens du théâtre et du détournement, déstructure le concerto pour piano et le déforme à la manière d’une farce burlesque.
Comme tout cabinet de curiosités qui se respecte, l’attrait de chacun de ses éléments a trait aux aspects les plus divers et variés. L’instrumentarium est souvent insolite, ainsi ce Feed back pour trois triangles et électronique de Gilbert Nouno, ou ce glassharmonica, qui file ses sons cristallins de Mozart à Clara Iannotta. Les sources d’inspiration sont aussi disparates que réjouissantes : les arabesques du chèvrefeuille des jardins servent de modèle à Olga Neuwirth, tandis que Die Stücke der Windrose de Kagel mêle indistinctement des objets sonores trouvés aux quatre coins de la planète. Marc Monnet, enfin, qui a hérité de son maître Kagel son sens du théâtre et du détournement, déstructure le concerto pour piano et le déforme à la manière d’une farce burlesque.
Coproduction Ensemble Intercontemporain, Philharmonie de Paris
En partenariat avec l'Ircam - Centre Pompidou
En partenariat avec l'Ircam - Centre Pompidou
Écouter et regarder
Mauricio Kagel : Die Stücke der Windrose : Osten - Ensemble Aleph
Wolfgang Amadeus Mozart : Adagio et rondo K 617 - Thomas Bloch (harmonica de verre), Les Musiciens du Louvre, Marc Minkowski (direction)