Récital
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
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Durée : environ
1h20
Programme
Serge Rachmaninoff
« Siren » (Les lilas), op. 21 n°5
« U moego okna » (Devant ma fenêtre), op. 26 n°10
« Zdes’ horosho » (Ici il fait bon), op. 21 n°7
Nikolaï Rimski-Korsakov
« Zvonche zhavoronka pen’e » (L’alouette chante plus fort), op. 43 n°1
Richard Strauss
« Morgen » (Matin), op. 27 n°4
avec Giovanni Andrea Zanon
Claude Debussy
« Il pleure dans mon cœur », l. 60 n° 2
Gustave Charpentier
Louise, Depuis le jour
Piotr Ilitch Tchaïkovski
« To bylo ranneju vesnoj » (C’était au début du printemps), op. 38 n°2
« Skazhi o chem v teni vetvej » (Dis-moi sous l’ombre des branchages), op. 57 n°1
Franck Bridge
« Go not, happy day »
Ruggero Leoncavallo
« Mattinata », op. 5
Piotr Ilitch Tchaïkovski
La Dame de Pique, Duo de Lisa et Polina
avec Elena Maximova
Nikolaï Rimski-Korsakov
« Redeet oblakov letuchaja grjada » (Enfin les noirs nuages vont s’éparpillant), op. 42 n°3
Serge Rachmaninoff
« Ne poy krasavitsa » (Ne me chante pas, ma belle, ces mélodies), op. 4 n°4
avec Giovanni Andrea Zanon
Richard Strauss
« Die Nacht » (La Nuit), op. 10 n°3
« Ständchen » (Sérénade), op. 17 n°2
Gabriel Fauré
« Après un rêve », op. 7 n°1
Antonín Dvořák
« Kdyz mne stara matka » (Chansons que ma mère m’apprenait), op. 55
Serge Rachmaninoff
« Son » (Le rêve), op. 38 n°5
Jacques Offenbach
Les Contes d’Hoffmann, Barcarolle
avec Elena Maximova
Piotr Ilitch Tchaïkovski
« Den’ li carit » (Que règne le jour), op. 47 n°6
Distribution
Anna Netrebko, soprano
Elena Maximova, mezzo-soprano
Giovanni Andrea Zanon, violon
Malcolm Martineau, piano
Diva ? Anna Netrebko l’est assurément, dans le sens premier du terme – comme l’assume sans fausse pudeur le dernier album de la cantatrice, qui a paru en 2018 chez Deutsche Gramophon et s’intitule simplement… Diva.
Les compliments pleuvent à propos d’Anna Netrebko, découverte il y a 25 ans par Valery Gergiev, et qui a depuis brûlé les planches de tout ce que le monde musical compte comme salles de premier plan : « une voix exceptionnelle à la carnation souple, aux couleurs richement déployées, avec un sens dramatique qui s’investit dans des phrasés amples et ardents », s’enthousiasme Alain Duault, tandis que Peter Gelb, le directeur du Met de New York, renchérit : « elle est la plus grande chanteuse de sa génération et l’évolution de sa voix est un incroyable et très rare voyage artistique. » Pour ce récital, qui la mène au gré de sa fantaisie du répertoire italien aux romances russes, en passant par les mélodies françaises, elle retrouve le pianiste Malcolm Martineau.
Les compliments pleuvent à propos d’Anna Netrebko, découverte il y a 25 ans par Valery Gergiev, et qui a depuis brûlé les planches de tout ce que le monde musical compte comme salles de premier plan : « une voix exceptionnelle à la carnation souple, aux couleurs richement déployées, avec un sens dramatique qui s’investit dans des phrasés amples et ardents », s’enthousiasme Alain Duault, tandis que Peter Gelb, le directeur du Met de New York, renchérit : « elle est la plus grande chanteuse de sa génération et l’évolution de sa voix est un incroyable et très rare voyage artistique. » Pour ce récital, qui la mène au gré de sa fantaisie du répertoire italien aux romances russes, en passant par les mélodies françaises, elle retrouve le pianiste Malcolm Martineau.
Production Les Grandes Voix
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris