Spectacle
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Salle des concerts - Cité de la musique
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Durée : environ
1h00
Distribution
Emanuel Gat, chorégraphie, lumières
Awir Leon, composition, machines, chant, claviers
Michael Loehr, danse
Ashley Wright, danse
Milena Twiehaus, danse
Emma Mouton, danse
Sara Wilhelmsson, danse
Thomas Bradley, danse
Annie Hanauer, danse
Peter Juhaz, danse
Geneviève Osborne, danse
Pansun Kim, danse
Artiste fidèle du Théâtre de la Ville, le chorégraphe Emanuel Gat a conçu Sunny, avec le musicien et producteur électronique Awir Leon, comme un spectacle à plusieurs niveaux, juxtaposant un concert et une exploration chorégraphique vivante et dynamique. Sunny est une explosion d’idées, un flot continu et libre fusionnant des sons inédits et un questionnement en profondeur sur les possibilités de la danse contemporaine.
Avec Sunny, danse contemporaine et création musicale fusionnent comme rarement. Surtout quand cette musique est jouée live. Dès ses débuts, le chorégraphe israélien Emanuel Gat a toujours offert une place centrale à la partition, lui qui commença à étudier la musique avant la danse. Avec François Przybylski alias Awir Léon, son vieux complice passé à l’inverse de la danse vers la musique, il signe ici une pièce intense sans que l’on sache si la musique épaule le ballet ou l’inverse. Tantôt épurée et empreinte de poésie, tantôt urbaine et surpuissante, instrumentale ou chantée, l’électro d’Awir Léon épouse les gestes et mouvements des dix danseurs. Une musique libre car changeante selon les représentations et les improvisations offertes par les corps en mouvement d’une œuvre impressionnante dans sa cohérence.
Avec Sunny, danse contemporaine et création musicale fusionnent comme rarement. Surtout quand cette musique est jouée live. Dès ses débuts, le chorégraphe israélien Emanuel Gat a toujours offert une place centrale à la partition, lui qui commença à étudier la musique avant la danse. Avec François Przybylski alias Awir Léon, son vieux complice passé à l’inverse de la danse vers la musique, il signe ici une pièce intense sans que l’on sache si la musique épaule le ballet ou l’inverse. Tantôt épurée et empreinte de poésie, tantôt urbaine et surpuissante, instrumentale ou chantée, l’électro d’Awir Léon épouse les gestes et mouvements des dix danseurs. Une musique libre car changeante selon les représentations et les improvisations offertes par les corps en mouvement d’une œuvre impressionnante dans sa cohérence.
Coproduction Festival Montpellier Danse 2016, Grand Théâtre de Provence, Théâtre de la Ville - Paris, Philharmonie de Paris, Scène Nationale d'Albi
Salle des concerts - Cité de la musique
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Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris