Spectacle
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Salle des concerts - Cité de la musique
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Durée : environ
2h50
dont 1 entracte
Programme
Distribution
première partie
Okina (théâtre nô)
Entracte
seconde partie
Aoi no Ue (théâtre nô)
Masakuni Asami
, maître de nô
Manzo Nomura
, maître de kyogen
Musiciens de l'association du Nô
Le nô et le kyōgen sont deux types de théâtre traditionnel japonais, perpétués grâce à une transmission ininterrompue depuis la fin du XIIIe siècle. En quatre journées exceptionnelles, ces deux arts sont reconstitués à la Philharmonie.
Malgré les nombreux bouleversements que le Japon a connus dans sa longue histoire, les deux types de théâtre traditionnel, le nô et le kyōgen, ont été perpétués. À l’origine, ils étaient destinés à être interprétés auprès des empereurs et des samouraïs, et lorsque l’ère Meiji a destitué la classe samouraï, ces arts ont survécu non seulement grâce au soutien de l'Agence de la Maison Impériale mais aussi grâce au mécénat de la nouvelle classe marchande. Aujourd’hui, ils sont transmis notamment par les « trésors nationaux vivants », la plus haute distinction artistique au Japon. Okina est une pièce unique mêlant danse et rituel shinto dans une cérémonie religieuse de bénédiction de l’assistance. Aoi no Ue raconte l’histoire tragique d’un triangle amoureux entre un prince, sa femme et une veuve, et la jalousie morbide qu’éprouve cette dernière.
Le programme, les costumes, le décor composé d’un toit, de piliers, d’une « passerelle » (hashigakari) et d’une « pièce au miroir » (kagami no ma) sont authentiquement reproduits pour ces spectacles, une première pour les spectateurs français de nô et de kyōgen.
Malgré les nombreux bouleversements que le Japon a connus dans sa longue histoire, les deux types de théâtre traditionnel, le nô et le kyōgen, ont été perpétués. À l’origine, ils étaient destinés à être interprétés auprès des empereurs et des samouraïs, et lorsque l’ère Meiji a destitué la classe samouraï, ces arts ont survécu non seulement grâce au soutien de l'Agence de la Maison Impériale mais aussi grâce au mécénat de la nouvelle classe marchande. Aujourd’hui, ils sont transmis notamment par les « trésors nationaux vivants », la plus haute distinction artistique au Japon. Okina est une pièce unique mêlant danse et rituel shinto dans une cérémonie religieuse de bénédiction de l’assistance. Aoi no Ue raconte l’histoire tragique d’un triangle amoureux entre un prince, sa femme et une veuve, et la jalousie morbide qu’éprouve cette dernière.
Le programme, les costumes, le décor composé d’un toit, de piliers, d’une « passerelle » (hashigakari) et d’une « pièce au miroir » (kagami no ma) sont authentiquement reproduits pour ces spectacles, une première pour les spectateurs français de nô et de kyōgen.
Coproduction Fondation du Japon, Nikkei Inc., Philharmonie de Paris
En partenariat avec La Maison de la culture du Japon à Paris
Dans le cadre de Japonismes 2018
Salle des concerts - Cité de la musique
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris
Pour repartir après ce concert
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