Dans ce premier épisode, Neil Hannon revient sur ses premiers concerts en France, sur sa découverte du public français, ainsi que sur l’influence des films de la Nouvelle Vague sur l’écriture de ses deux premiers albums. Il raconte aussi pourquoi il a décidé de poser devant la pyramide du Louvre pour la pochette de Promenade.
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Épisode 1: Liberation & Promenade
Du 19 au 23 septembre, Neil Hannon va jouer chaque soir deux albums en intégralité de The Divine Comedy. Soit presque toute sa discographie, à l’occasion des 30 ans du groupe dont il est le seul membre depuis le début des années 90. Ces concerts exceptionnels n’auront lieu qu’à Londres, au Barbican Center, et à Paris, à la Philharmonie. Une raison à cela: l’attachement permanent de Neil Hannon à la France, qui le lui rend bien depuis toujours.
Nous avons donc choisi de parler avec ce petit prodige Irlandais de sa relation particulière avec la culture française à travers une série de cinq podcasts. Et pour ce premier épisode, qui correspond aux deux albums qui l’ont révélé ici, Liberation et Promenade, Neil nous parle du sentiment qu’il a éprouvé lorsqu’il a joué pour la première fois à Paris.
La culture française a irrigué dès le début les textes de The Divine Comedy, notamment le cinéma français. Alors qu’il est enfermé dans une maison à Fivemiletown, en Irlande, Neil écrit seul l’essentiel des deux premiers albums, et pour nourrir son inspiration il regarde beaucoup de films de la Nouvelle Vague. Mais cet intérêt pour le cinéma français remonte à bien plus loin, et l’attrait pour ces films n’est pas uniquement cinématographique.
Dès le second album, Promenade, en 1994, Neil Hannon se sent tellement à l’aise en France que pour la photo de la pochette, il pose devant l’un des grands monuments du patrimoine parisien: la pyramide du Louvre.
Mais alors, Neil, qu’est-ce qui fait que les chansons de The Divine Comedy paraissent si familières aux oreilles du public français ?
C’est déjà la fin de ce premier épisode. Mais nous allons très vite retrouver Neil Hannon pour d’autres évocations de son rapport avec la France.