Concert symphonique
•
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
1h55
dont 1 entracte
Programme
Distribution
Ludwig van Beethoven
Concerto pour piano n°1
Entracte
Richard Wagner
Parsifal
Prélude
Parsifal
Enchantement du vendredi Saint
Pierre Boulez
Notations pour orchestre
Staatskapelle Berlin
Daniel Barenboim
, direction
Martha Argerich
, piano
Ce concert exceptionnel voit la rencontre de deux monstres sacrés du classique. À l’énergie beethovénienne dispensée par Martha Argerich répondent la magie des ondes debussystes et la fabuleuse rythmique percussive imaginée par Pierre Boulez.
Daniel Barenboim et sa Staatskapelle Berlin nous proposent un programme des plus riches. Si l’éparpillement du temps musical des Jeux de vagues debussystes ont essaimé au sein de l’œuvre de Pierre Boulez, c’est plutôt la fureur visionnaire du Dialogue du vent et de la mer qui trouvent dans les Notations une descendance certaine. Orchestration et développement de courtes pièces pour piano de jeunesse, ces pages, les plus accessibles de leur auteur, s’animent d’une fièvre que les percussions, en nombre et particulièrement sollicitées, maintiennent dans les hauteurs. Quant à Martha Argerich, deux ans après un miracle resté dans les mémoires, elle remet sur le métier un concerto dont elle a percé les secrets comme personne. Elle semble le recréer dans l’instant, de sa science du toucher et des couleurs, et par la grâce de phrasés aussi inattendus que sonnant, paradoxalement, avec la plus parfaite évidence.
Daniel Barenboim et sa Staatskapelle Berlin nous proposent un programme des plus riches. Si l’éparpillement du temps musical des Jeux de vagues debussystes ont essaimé au sein de l’œuvre de Pierre Boulez, c’est plutôt la fureur visionnaire du Dialogue du vent et de la mer qui trouvent dans les Notations une descendance certaine. Orchestration et développement de courtes pièces pour piano de jeunesse, ces pages, les plus accessibles de leur auteur, s’animent d’une fièvre que les percussions, en nombre et particulièrement sollicitées, maintiennent dans les hauteurs. Quant à Martha Argerich, deux ans après un miracle resté dans les mémoires, elle remet sur le métier un concerto dont elle a percé les secrets comme personne. Elle semble le recréer dans l’instant, de sa science du toucher et des couleurs, et par la grâce de phrasés aussi inattendus que sonnant, paradoxalement, avec la plus parfaite évidence.
Coproduction Piano****, Philharmonie de Paris
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
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3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris