Concert symphonique
•
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
•
Durée : environ
1h44
Programme
Lera Auerbach
Icarus
création française
Serge Rachmaninoff
Rhapsodie sur un thème de Paganini
Piotr Ilitch Tchaïkovski
Symphonie n° 5
Distribution
Orchestre de Paris
Manfred Honeck, direction
Igor Levit, piano
Les conditions n’étant pas réunies pour que ce concert ait lieu, nous sommes contraints de l’annuler.
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Deux partitions majeures de Tchaïkovski et Rachmaninoff répondent à la création française d’Icarus de la russo-américaine Lera Auerbach.
Composé à partir des deux derniers mouvements de la Symphonie n° 1, « Chimera » de la compositrice et poétesse russo-américaine, Icarus regorge d’effets sonores, paroxystiques et angoissants, évoquant le songe et la mort du fils de Dédale. Virtuose, la Rhapsodie de Rachmaninov fait office de concerto pour piano déguisé, qui s’empare du thème du vingt-quatrième caprice de Paganini pour le soumettre à une série de brillantes métamorphoses, non sans citer le célèbre motif du Dies Irae. Intense méditation orchestrale sur le destin, la Symphonie n° 5 de Tchaïkovski voit ses quatre mouvements unis par un thème commun, sombre « marche-choral » dont l’emprise teinte d’inquiétude jusqu’aux passages lumineux. On ne sait si la consolation vient du lyrisme élégiaque de l’Andante ou de la puissance du Finale, qui cherche à affirmer un improbable salut dans la foi.
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Deux partitions majeures de Tchaïkovski et Rachmaninoff répondent à la création française d’Icarus de la russo-américaine Lera Auerbach.
Composé à partir des deux derniers mouvements de la Symphonie n° 1, « Chimera » de la compositrice et poétesse russo-américaine, Icarus regorge d’effets sonores, paroxystiques et angoissants, évoquant le songe et la mort du fils de Dédale. Virtuose, la Rhapsodie de Rachmaninov fait office de concerto pour piano déguisé, qui s’empare du thème du vingt-quatrième caprice de Paganini pour le soumettre à une série de brillantes métamorphoses, non sans citer le célèbre motif du Dies Irae. Intense méditation orchestrale sur le destin, la Symphonie n° 5 de Tchaïkovski voit ses quatre mouvements unis par un thème commun, sombre « marche-choral » dont l’emprise teinte d’inquiétude jusqu’aux passages lumineux. On ne sait si la consolation vient du lyrisme élégiaque de l’Andante ou de la puissance du Finale, qui cherche à affirmer un improbable salut dans la foi.
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
Découvrir la salleComment venir
Porte de Pantin
M5 Métro ligne 5
3B Tramway 3B
Adresse
221 avenue Jean-Jaurès, 75019 Paris
Pour repartir après ce concert
taxi G7