Concert
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Cité de la musique - Salle des concerts
•
Durée : environ
1h30
Programme
Distribution
Bandis
Ntumbo
Miamor
Kisango
Kadiya Yempongo
Musongela
Dinda Kayembe Muteyi
Kaka
Kadiya Yempongo
Kantontele
Dinda Kayembe Muteyi
Kanyoka
Miamor
Kalenga
Basokin
Kalemanyi
Dinda Kayembe Muteyi
Lubala
Miamor
Mulume
Basokin Ensemble
Mopero Mupemba Lumbue
, guitare
François Kalenga Nsomue
, guitare
Sébastien Ngangu Tiabakuau
, guitare basse
Diesel Mukonkole Kapenga
, percussions
Narcisse Kabukulu Mukendi
, percussions
Dinda Kayembe Muteyi
, voix, (voix d'or)
Kadiya Yempongo
, voix, danse
Peuple Ngoyi Nkambua
, voix
Charlène Luanyi Yampanya
, danse
Isabelle van Oost
, créatrice décor
Ce concert est précédé d'une rencontre à 19h avec l'ensemble Basokin et Michel Winter, manageur (entrée libre).
Le nom du groupe Basokin est la contraction de Basongye, un peuple bantou du sud-est du Congo, et de Kinshasa, la capitale du pays. Leader du groupe depuis 1983, Hubert Mputu Ebondo est un griot connu sous le pseudonyme de Mi-Amor ou de Pharaon noir (« une manière pour moi de confirmer que nous, Songye, nous sommes des descendants des Égyptiens noirs », dit-il). Ses musiciens, qui ont quitté leur province songye du Grand-Kasaï pour vivre à Kinshasa, continuent d’y défendre leur culture, leur langue et leur tradition.
La musique de Basokin fait partie d’un courant désigné au Congo par le terme de « tradi-moderne », illustré par des compilations comme la série des Congotronics. Pour poursuivre leur activité sociale dans un contexte urbain nouveau – ils jouent lors de mariages, de funérailles, de rassemblements en tout genre –, les musiciens traditionnels ont dû électrifier leurs instruments, provoquant ainsi un changement marqué dans leur sonorité.
Le nom du groupe Basokin est la contraction de Basongye, un peuple bantou du sud-est du Congo, et de Kinshasa, la capitale du pays. Leader du groupe depuis 1983, Hubert Mputu Ebondo est un griot connu sous le pseudonyme de Mi-Amor ou de Pharaon noir (« une manière pour moi de confirmer que nous, Songye, nous sommes des descendants des Égyptiens noirs », dit-il). Ses musiciens, qui ont quitté leur province songye du Grand-Kasaï pour vivre à Kinshasa, continuent d’y défendre leur culture, leur langue et leur tradition.
La musique de Basokin fait partie d’un courant désigné au Congo par le terme de « tradi-moderne », illustré par des compilations comme la série des Congotronics. Pour poursuivre leur activité sociale dans un contexte urbain nouveau – ils jouent lors de mariages, de funérailles, de rassemblements en tout genre –, les musiciens traditionnels ont dû électrifier leurs instruments, provoquant ainsi un changement marqué dans leur sonorité.