Concert
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Cité de la musique - Amphithéâtre
Programme
Distribution
François Francœur / Jean-Baptiste Lully / François Rebel
Suite d'Armide
André Campra
Simphonies du Ballet des Ages
Carl Philipp Emanuel Bach
Concerto pour clavecin Wq 23
Georg Friedrich Haendel
Concerto grosso op. 3 n° 1
Arcangelo Corelli
Ciaccona op. 3 n° 12
Traditionnel - Chine du Nord
Le Mouton sur la colline (Shan Po Yang)
XVIII-21 Le Baroque Nomade
Jean-Christophe Frisch
, direction
Jean-Luc Ho
, clavecin Longman § Broderip fin XVIIIè (collection Musée de la musique)
Sous la direction de Jean-Christophe Frisch, avec Jean-Luc Ho au clavecin, XVIII-21 Le Baroque Nomade propose un parcours à travers les divers procédés de mesure du temps musical, bien avant que Johann Nepomuk Maelzel ne dépose le brevet de son métronome perfectionné en 1815.
Dans la musique française de Lully ou de Campra, c’est grâce à un « pendule » que le juste mouvement pouvait être fi xé. La musique italienne de Corelli ou de Haendel, telle qu’elle était interprétée à Londres, était plutôt mesurée au moyen de minutages chronométrés. Mais, comme l’écrivait Johann Joachim Quantz, contemporain de Carl Philipp Emanuel Bach, dans son Essai d’une méthode pour jouer la fl ûte traversière (1752), « le moyen le plus propre pour mesurer bien le mouvement, c’est le battement du pouls à la main d’un homme qui se porte bien, chacun l’ayant toujours avec lui ».
Dans la musique française de Lully ou de Campra, c’est grâce à un « pendule » que le juste mouvement pouvait être fi xé. La musique italienne de Corelli ou de Haendel, telle qu’elle était interprétée à Londres, était plutôt mesurée au moyen de minutages chronométrés. Mais, comme l’écrivait Johann Joachim Quantz, contemporain de Carl Philipp Emanuel Bach, dans son Essai d’une méthode pour jouer la fl ûte traversière (1752), « le moyen le plus propre pour mesurer bien le mouvement, c’est le battement du pouls à la main d’un homme qui se porte bien, chacun l’ayant toujours avec lui ».