Conférence
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Salle de conférence - Philharmonie
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Durée : environ
1h30
Avec 
Lamia Ziadé, romancière
Juliet Doucet, récitante
Et 
Tewfik Hakem, modérateur
Dans ses romans graphiques, Lamia Ziadé a mis en récit les destinées audacieuses des plus belles voix du Proche-Orient arabe (Ô nuit Ô mes yeux, P.O.L., 2015). À l’occasion de l’exposition Al musiqa, une traversée en images de l’univers de la création arabe féminine des XXe et XXIe siècles, en dialogue avec l’illustratrice.
La rencontre se conclura par un échange avec le public.
Lectures : Juliet Doucet
À l’âge de 18 ans, Lamia Ziadé quitte le Liban et s’installe à Paris pour y suivre des études d’art graphique. Plasticienne et illustratrice, ses travaux sont exposés depuis le milieu des années 1990 à travers le monde. Dès sa première exposition à la Galerie Kamel Mennour, Je veux que personne ne le sache (2002), ses séquences érotiques en tissu et assemblages installent son univers pictural entre Orient et Occident, explorant les symboles collectifs du plaisir et de l’addiction. Elle aborde ensuite la guerre du Liban dans un premier récit illustré : Bye Bye Babylone (2010) qui recrée le Beyrouth des années 1970. Elle consacre son album suivant, Ô Nuit Ô mes Yeux (2015), aux grandes chanteuses arabes qui ont marqué le XXe siècle, dans l’essor d’une culture populaire foisonnante, entre cinémas et cabarets. Ma Très Grande Mélancolie Arabe (2017), son dernier roman graphique, prolonge ce parcours à travers l’histoire du Proche-Orient en accordant une part égale à l’intime et aux grands mythes, à la nostalgie et à la dérision.
Juliet Doucet est comédienne. Au sein du rassemblement de collectifs La Grosse Plateforme (Paris), elle collabore à des spectacles écrits collectivement, mêlant théâtre, dans et chant, tels que, en 2018, Chercher la Femme, Mues et Le Sacre. Juliet est lauréate des Talents Cannes Adami 2017.
La rencontre se conclura par un échange avec le public.
Lectures : Juliet Doucet
À l’âge de 18 ans, Lamia Ziadé quitte le Liban et s’installe à Paris pour y suivre des études d’art graphique. Plasticienne et illustratrice, ses travaux sont exposés depuis le milieu des années 1990 à travers le monde. Dès sa première exposition à la Galerie Kamel Mennour, Je veux que personne ne le sache (2002), ses séquences érotiques en tissu et assemblages installent son univers pictural entre Orient et Occident, explorant les symboles collectifs du plaisir et de l’addiction. Elle aborde ensuite la guerre du Liban dans un premier récit illustré : Bye Bye Babylone (2010) qui recrée le Beyrouth des années 1970. Elle consacre son album suivant, Ô Nuit Ô mes Yeux (2015), aux grandes chanteuses arabes qui ont marqué le XXe siècle, dans l’essor d’une culture populaire foisonnante, entre cinémas et cabarets. Ma Très Grande Mélancolie Arabe (2017), son dernier roman graphique, prolonge ce parcours à travers l’histoire du Proche-Orient en accordant une part égale à l’intime et aux grands mythes, à la nostalgie et à la dérision.
Juliet Doucet est comédienne. Au sein du rassemblement de collectifs La Grosse Plateforme (Paris), elle collabore à des spectacles écrits collectivement, mêlant théâtre, dans et chant, tels que, en 2018, Chercher la Femme, Mues et Le Sacre. Juliet est lauréate des Talents Cannes Adami 2017.
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