Opéra
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Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
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Durée : environ
2h10
Programme
Claudio Monteverdi
Orphée
Livret d'Alessandro Striggio
Distribution
Monteverdi Choir
English Baroque Soloists
Sir John Eliot Gardiner, direction, mise en espace
Elsa Rooke, mise en espace
Isabella Gardiner , costumes
Patricia Hofstede, costumes, (Atelier Paradis)
Krystian Adam, ténor, Orfeo
Hana Blažíková, soprano, La Musica / Euridice
Lucile Richardot, mezzo-soprano, Messaggera
Francesca Boncompagni, soprano, Proserpina
Gianluca Buratto, basse, Caronte / Plutone
Kangmin Justin Kim, contre-ténor, Speranza
Furio Zanasi, baryton, Apollo
Francisco Fernández-Rueda, ténor, Pastore I
Gareth Treseder, ténor, Pastore II / Spirito I / Eco
John Taylor Ward, baryton, Pastore IV / Spirito III
Michal Czerniawski, contre-ténor, Pastore III
Zachary Wilder, ténor, Spirito II
Anna Dennis, soprano, Ninfa
À l’occasion du 450e anniversaire de la naissance de Monteverdi, John Eliot Gardiner réunit ses troupes pour un nouveau voyage dans l’œuvre opératique du compositeur italien. Chronologie oblige, c'est à Orfeo qu’il revient d’ouvrir ce week-end.
Cette œuvre avec laquelle se joue un tournant esthétique capital, à tel point que certains l’ont considérée comme le premier opéra de l’histoire de la musique, est chère au cœur du chef anglais, qui y entend « le pouvoir de la musique dans l’une de ses formes les plus puissantes et concentrées », et qui explique : « Tandis que cette favola in musica se déroule, nous faisons face à toute la gamme des émotions humaines, depuis le plus euphorique jusqu’au plus abattu, toutes émotions présentées dans un langage musical qui est peut-être plus proche du discours passionné que le récitatif ne l’a jamais été, ni avant ni après. » Gardiner revient à la Philharmonie accompagné de ses fidèles formations (le cinquantenaire Monteverdi Choir et les English Baroque Soloists).
Cette œuvre avec laquelle se joue un tournant esthétique capital, à tel point que certains l’ont considérée comme le premier opéra de l’histoire de la musique, est chère au cœur du chef anglais, qui y entend « le pouvoir de la musique dans l’une de ses formes les plus puissantes et concentrées », et qui explique : « Tandis que cette favola in musica se déroule, nous faisons face à toute la gamme des émotions humaines, depuis le plus euphorique jusqu’au plus abattu, toutes émotions présentées dans un langage musical qui est peut-être plus proche du discours passionné que le récitatif ne l’a jamais été, ni avant ni après. » Gardiner revient à la Philharmonie accompagné de ses fidèles formations (le cinquantenaire Monteverdi Choir et les English Baroque Soloists).
Grande salle Pierre Boulez - Philharmonie
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